Sondage : 90 % des Français considèrent être des bons automobilistes

Une récente étude effectuée pour eplaque.fr révèle qu’un conducteur français sur dix se dit satisfait ses comportements sur les routes. En effet, ces automobilistes accordent une grande importance au code de la route, mais restent moins attentifs quant à la courtoisie et au respect des limitations de vitesse.

 

90 % des français se considèrent être de bons conducteurs.
68% des sondés sont contre la limitation de vitesse à 80 km/h

 

Etre un bon conducteur…

Cet été, les départs pour les vacances se multiplient et deux tiers des familles choisissent de partir à  plus 500 km de chez eux. C’est dans ce cadre qu’une étude sur les comportements des conducteurs sur les routes a été réalisée. Selon le sondage en question, 90% des interrogés se considèrent comme de bons automobilistes. Pour eux, la première qualité d’un bon conducteurs est l’anticipation face aux dangers (85,5%), suivie du respect du code de la route (83,4%). Les autres caractéristiques d’un bon conducteurs, selon encore les sondés, est le bon usage de son clignotant (80%) ainsi que la sobriété (76,4%).

Par contre, alors que la réduction de la vitesse maximale à 80km/h sur les routes secondaires est déjà en vigueur, 65,3% des interrogés estiment que le respect de cette mesure caractérise un bon automobiliste. En outre, 68% d’entre eux s’opposent carrément à ce dispositif qui « pourrait sauver entre 300 et 400 vies par an », d’après le Premier ministre, Édouard Philippe. L’étude s’est également portée sur la courtoisie sur les routes. Résultat : seuls 44% des automobilistes français accordent une grande importance à celle-ci.

 

Les sources d’énervement au volant

Par ailleurs, parmi les raisons qui font perdre le sang-froid des conducteurs, les sondés évoquent les embouteillages (78,9%) et les dysfonctionnements techniques (58,4%). Ils parlent aussi du stress des camions (51%) et des voitures qui monopolisent la file de gauche (42,7%), mais également la chaleur (42%) et l’impatience des enfants (12,7%).

Ainsi, bien que les automobilistes français soient « satisfaits » d’eux-mĂŞmes, ils ne sont pas pour autant totalement Ă  l’abri des dangers. Beaucoup d’entre eux se stressent très facilement, et n’adoptent pas tous les comportements d’un bon conducteur. Face Ă  ce fait incontestable et pour limiter les risques d’accidents, bon nombre d’automobilistes ont dĂ©jĂ  choisi d’opter pour une autre alternative plus sure : Eden Transports, sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e dans le VTC. Bien accessibles Ă  toutes les bourses, ses prestations sur mesure s’adressent aussi bien aux particuliers qu’aux entreprises.

Sécurité routière : la conduite des « gros rouleurs » est plus à risque

Selon une étude menée par les Associations « Prévention routière » et « Attitude Prévention », les « gros rouleurs » prennent plus de risque sur les routes, et sont plus nombreux à être impliqués dans des accidents.

Un sondage réalisé par les Associations « Prévention routière » et « Attitude Prévention » indique que les gros rouleurs prennent plus de risque au volant.
92 % des gros rouleurs ne changent pas leurs habitudes par temps de pluie.

 

Une confiance mal placée

Pour réaliser le sondage, ces associations ont croisé les éléments recueillis les informations déclarées par les sondés (4 500 personnes), et les données enregistrés sur la route par le Big Data. Cela a permis d’identifier 2 profils de conducteurs : d’un côté « les gros rouleurs », ceux qui effectuent plus de 20 000 km par an, et de l’autre les « petits rouleurs » qui parcourent 4 000 km par an au maximum. Le résultat de cette étude montre que ces « gros rouleurs » tendent à prendre plus de risques au volant, vu qu’ils ont une plus grande confiance en eux, en raison de leur expérience.

Selon les statistiques, 33 % de ces automobilistes n’hésitent pas à parler au téléphone pendant la conduite. 50 % d’entre eux,  vont au-delà de la vitesse maximale autorisée en dehors des villes, contre 37 % en ville. Par ailleurs, 41 % prennent le volant malgré la  fatigue, et 50% s’énervent contre les autres conducteurs. Ces gros rouleurs sont également plus nombreux à conduire sans pause sur de longs trajets, soit 78%, contre 49% pour les « petits rouleurs ». En outre, ils  86 % de ces automobilistes se distraient facilement par des discussions avec des passagers, l’écoute de musique, ou lorsqu’ils mangent ou boivent pendant la conduite.

 

Un nombre d’accidents plus élevé pour les « gros rouleurs »

Trop confiant en leur expérience, peu de gros rouleurs adaptent leur conduite aux conditions météorologiques. Selon le sondage, 92 % ne modifient pas leurs habitudes par temps de pluie, contre 65 % en cas de grêle, et 77 % en cas de brouillard. Cette négligence entraîne ainsi un plus grand nombre d’accidents : 75 % des automobilistes gros rouleurs ont déjà eu un accident non responsable, et 53 % un accident responsable, contre 39 % et 24 %pour les petits rouleurs. Par ailleurs, 78% de ces gros rouleurs ont déjà perdu des points sur leur permis.

Mais les « petits rouleurs »  ne sont pas pour autant de bons élèves : bien que beaucoup d’entre eux aient déclaré qu’ils évitent les comportements à risques, les données fournies par Big Data révèlent qu’ils restent moins longtemps au stop par rapport au nombre de kilomètres parcourus. En outre, ils ont tendance aussi à dépasser imitations de vitesse que le reste des conducteurs. Toutes ces données confirment que les comportements des Français sur les routes restent encore dangereux. Il est pourtant possible de réduire largement les risques d’accidents, en changeant ses habitudes, ou encore, mieux en recourant à une alternative comme Eden transports. Il s’agit d’un service de transport personnalisé, avec chauffeur professionnel.

Sondage : trajet domicile-bureau et le bien-ĂŞtre au boulot

Les temps de trajet du domicile au travail ont des répercussions sur les salariés. C’est le résultat d’une étude menée par Ifop. Ce sondage révèle en effet que les employés qui passent moins de 40 minutes dans les transports affirment être plus heureux au boulot et ont moins envie de quitter leur entreprise.  

Les salariés qui passent moins de 40 minutes dans les transports pour se rendre au travail sont plus "heureux" que leurs collègues.
Ceux qui passent plus d’une heure dans les transports s’attachent moins Ă  discuter avec leurs collègues après le travail.

 

Un trajet qui dure pèsera sur les salariés

Les salariés mettant moins de 40 minutes pour se rendre au travail se disent plus heureux que les autres, selon l’étude réalisée  par l’institut d’enquêtes et de sondages Ifop. Le sondage a été faite sur 2000 salariés représentatifs en Île-de-France. En effet, le niveau d’insatisfaction augmente en fonction de la durée du trajet.  Par ailleurs, 75 % des personnes qui mettent plus d’une heure pour le trajet domicile-bureau disent que le trajet est « désagréable », soit aux moins 2 heures par jour dans les transports.

Mais le trajet peuvent également avoir des impacts sur le bien-être du salarié au travail, car la même étude révèle un autre fait intéressant : les employés les plus « heureux » sont ceux qui passent moins de temps dans les transports, soit moins de 40 minutes de trajet domicile-bureau. Le sondage montre donc que plus le temps du trajet va durer, moins le salarié sera « heureux » tout au long de leur journée de travail, ce qui pèsera évidemment sur l’entreprise.

 

Conséquence sur les relations entre salariés

L’Ifop s’est également penchée sur la question du rapport entre la qualité des relations entre collègues et les temps de trajet. Et effectivement, les relations entre salariés peuvent être aussi influencées par la durée du déplacement domicile-travail. Plus l’employé passe de temps dans les transports, moins ils discutent avec leurs collègues après le travail. Et seuls 29 % des employés passant plus d’une heure de trajet considèrent leurs collègues comme étant à la fois des amis, contre 41 % pour les salariés qui mettent moins d’une heure dans les transports.

Ce sondage devrait ainsi interpeller les Franciliens qui prennent quotidiennement les transports en commun. Nul n’ignore que les bus, les métros et les trains sont loin d’être les meilleures solutions pour arriver rapidement et à temps au bureau : annulations, pannes, retards et arrêt prolongé peuvent toujours survenir à tout moment. Ainsi, il vaut mieux recourir à une alternative plus pratique et plus sûre : Eden Transports, qui est dédié aussi bien aux particuliers qu’aux entreprises. Les chauffeurs professionnels de cette société spécialisée connaissent comme leur poche les axes routiers en région parisienne, ce qui garantit au client un trajet toujours plus courts et donc plus rapide. De plus, la réservation se fait facilement en ligne 24h/24.

Sondage : au volant, les hommes sont plus dangereux que les femmes

D’après une Ă©tude rĂ©alisĂ©e par la SĂ©curitĂ© routière sur la vigilance des automobilistes français au volant, le constat est sans appel : les femmes conduisent mieux que les hommes. C’est un fait dĂ©sormais indĂ©niable.

 

Au volant, les hommes sont beaucoup moins vigilants que les femmes, selon un sondage réalisé par la Sécurité routière.
82 % des auteurs d’accidents mortels sont des hommes.

 

Les conductrices restent plus prudentes

Un sondage mené par la Sécurité routière révèle que les femmes ont une conduite au volant moins dangereux que les hommes. Cela doit briser toutes les idées reçues concernant les femmes au volant. Contrairement à ce beaucoup peuvent penser, les hommes sont nettement plus dangereux, moins attentionnées sur les routes que les femmes. Ces dernières sont donc des conductrices exemplaires, car les accidents dans lesquelles elles sont impliquées sont globalement moins graves.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : alors que le nombre de décès sur les routes françaises a baissé en 2017 (-1,4 %), la sécurité routière a constaté que 82 % des auteurs d’accidents mortels sont des conducteurs et non des conductrices. Et cela reste valable à tous les âges. Dans 6 cas sur 10, alcool et vitesse sont les premières causes d’accidents chez les hommes, contre 1 sur 3 chez les femmes Autrement dit, la responsabilité des hommes est, dans la plupart des cas, engagée, loin devant les femmes.

 

Quelle solution pour un trajet plus sûr ?

Cette étude édifiante devrait ainsi interpeler bon nombre d’automobilistes, en particulier ces hommes qui ont tendance à conduire à grande vitesse, sous l’effet de l’alcool ou non. Ils devront alors se montrer plus vigilants sur les routes. Pourtant, s’ils ne peuvent pas se passer de cette conduite à risque, une solution largement plus sûre existe : le VTC Eden Transports. Grâce à ce service, le client profite d’une prestation toujours personnalisée, avec un confort et une sécurité assurés pendant tout le trajet. En effet, celui-ci n’a qu’à faire, au besoin, une réservation en ligne pour qu’un chauffeur professionnel le prenne en voiture sur le lieu convenu et à l’heure de rendez-vous.

Cette alternative ne permet pas simplement de limiter les risques d’accidents routiers, mais aussi d’économiser son temps lors du trajet. Libéré des contraintes de la conduite, le client peut bien se concentrer davantage sur le motif de son voyage, du départ à l’arrivée. Tout est pensé pour offrir à celui-ci un service de qualité, loin du stress lié à la conduite d’une voiture personnelle. Rien n’est plus rassurant que de confier son trajet à un conducteur expérimenté, courtois et ponctuel.

 

Voiture autonome : les Français peu intéressés par cette technologie

Selon un sondage réalisé par l’Institut Ipsos, les automobilistes français n’ont pas vraiment le coup de foudre pour les véhicules autonomes, vu les risques encore élevés que présente cette technologie : les interrogés redoutent fort le piratage informatique, la défaillance brusque du système et bien d’autres problèmes pouvant survenir.

La plupart des Français ne s'intéressent pas vraiment aux voitures autonomes, d'après un sondage réalisé par Ipsos.
La voiture autonome est sans doute une cible potentielle des pirates informatiques.

 

Une alternative encore très risquée

Les automobilistes français ont peu d’intĂ©rĂŞt pour les voitures qui se conduisent seules. C’est le constat gĂ©nĂ©ral qui dĂ©coule d’un sondage rĂ©alisĂ© par l’institut Ipsos. En effet, 51% des interrogĂ©s ne sont pas rassurĂ©s Ă  l’idĂ©e de recourir Ă  cette technologie un jour. Et 25% se disent mĂŞme « contre les vĂ©hicules autonomes et ne jamais vouloir en utiliser ». Seul 24 % ont hâte de pouvoir monter Ă  bord de ce type de voiture.

Selon encore Ipsos,  c’est seulement le fait de pouvoir se garer automatiquement qui donne Ă  ces 24 % l’envie d’utiliser un vĂ©hicule autonome. Cette fonction est donc la plus attendue par ces automobilistes, alors que cela est dĂ©jĂ  possible avec les vĂ©hicules rĂ©cents. Et quant aux craintes des Français face Ă  cette technologie, beaucoup Ă©voquent le risque technique encore trop Ă©levĂ©, un point faisant surtout allusion au rĂ©cent accident d’un prototype d’Uber aux Etats-Unis. D’ailleurs, l’entreprise a dĂ©cidĂ© d’abandonner dĂ©finitivement ses essais en Arizona et dans les autres rĂ©gions après ce grave incident. Mais les interrogĂ©s justifie Ă©galement leur rĂ©ticence par le risque de piratage informatique. Au total, seul 9 % des sondĂ©s croient Ă  une rĂ©duction du risque d’accident avec l’usage de cette technologie.

 

Un avenir encore incertain pour cette technologie

Les vĂ©hicules qui se conduisent seuls ont toujours Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s comme Ă©tant la voiture de demain. Mais jusqu’aujourd’hui, cette technologie est encore loin de gagner la confiance des automobilistes en France comme dans le monde. D’après bon nombre d’experts amĂ©ricains, dès lors qu’il s’agit d’un vĂ©hicule connectĂ©, le risque de piratage reste bien rĂ©el. Les hackers pourraient bien bloquer Ă  distance la voiture ou changer sa trajectoire, Ă  l’aide d’une connexion WiFi. Tout cela pour dire qu’il est vraiment possible pour des pirates de haut niveau de pĂ©nĂ©trer et d’embrouiller tout le système.

Au lieu de confier sa vie à une voiture autonome, la plupart des Français préfèrent donc opter pour d’autres alternatives comme Eden Transports. Ce service de transport avec chauffeur est bien approprié pour ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas prendre le volant, notamment par souci de sécurité et de confort. Toujours personnalisées, les prestations de cette entreprise conviennent aussi bien aux particuliers qu’aux entreprises. Bref, il est nettement plus rassurant de confier son trajet à un chauffeur professionnel, plutôt qu’à une intelligence artificielle.

Les Français et les embouteillages

La plupart des conducteurs français finissent par s’énerver après 30 minutes dans les bouchons. En outre, 50 % jeunes automobilistes perdent patience au bout de 15 minutes seulement. C’est le résultat d’un sondage mené par Easy Panel sur le comportement des Français face au trafic bloqué.

Une enquête réalisée par Easy Panel indique que 82 % des Français perdent patience au bout de 30 minutes d'attente dans les embouteillages. La moitié des jeunes conducteurs s'énervent après 15 minutes seulement alors que les plus âgés arrivent à gérer leur colère pendant 1 heure.
La moitiĂ© des jeunes conducteurs s’Ă©nervent au bout de 15 minutes dans les bouchons.

 

Les plus âgés sont plus patients…

Pour rappel, une étude du spécialiste Américain du trafic INRIX a déjà indiqué que les Français passent en moyenne 23 heures dans les bouchons chaque année. Elle révèle également que Paris est la 6e ville la plus embouteillée dans le monde, avec 65 heures de moyenne. Et ce mois-ci, un sondage effectué par Easy Panel révèle un autre fait dans l’Hexagone : 82% des Français perdent le contrôle de ses nerfs après une demi-heure d’attente dans les embouteillages, et 40% s’impatiente au bout de seulement 15 minutes.

Par ailleurs, ce sont les jeunes conducteurs qui s’irriteraient le plus vite lorsqu’ils sont coincĂ©s dans le trafic, car la moitiĂ© d’entre eux se mettent en colère au bout d’un quart d’heure seulement. Il est aussi intĂ©ressant de savoir que, du cĂ´tĂ© des automobilistes plus âgĂ©s, l’atmosphère est plus dĂ©tendue, car Ă  la diffĂ©rence des jeunes, ils arrivent Ă  contenir leur agacement pendant une heure dans les bouchons.

 

Pour supporter ou braver les embouteillages

Pour anticiper le risque d’énervement dans un trafic bloqué, les passagers et les conducteurs ont recours à diverses astuces et occupations. Ainsi, 77% des automobilistes préfèrent écouter la radio, si 51% choisissent d’engager une discussion avec un ou plusieurs passagers. En revanche, 13% se mettent à observer les comportements et imaginer la vie d’autres conducteurs coincés dans le trafic.

Mais pour éviter de se retrouver bloqués dans les bouchons,  42% des séniors âgés de 60 ans et plus choisirait plutôt de décaler leur départ. Bien que cette option soit pratique, elle n’est évidemment pas appropriée pour les personnes actives qui devraient arriver à l’heure à l’école, au travail, etc. Bref, cette enquête montre que l’agacement des Français dans les embouteillages est loin d’être un mythe et concerne à la fois les jeunes et les plus âgés.

Enquête : les rapports entre les Français sur la route

« Les comportements des français sur la route ne s’améliorent pas », estiment neuf personnes sur dix. C’est ce qui résume le résultat du 14e baromètre publiée par Axa prévention ce mois d’avril.  Et selon le groupe, « chacun agit selon ses propres règles… ».

Le sondage menée par Axa prévention révèle que les usagers de la route en France ne se respectent pas. Piétons, cyclistes, automobilistes et usagers de glisse urbaine en sont tous concernés.
En France, 58% des cyclistes roulent sur le trottoir alors que c’est interdit.

Sans respect des autres usagers

Différents types de moyens de locomotion ont vu le jour face à la saturation de la circulation en France. Hoverboard, vélo, trottinette, scooter et bien d’autres véhicules sillonnent ainsi les villes de l’Hexagone. Mais de fait, le partage de la  route reste très difficile. Selon l’enquête menée par Axa Prévention, 90 % des sondés jugent qu’en France, la « cohabitation » des usagers se caractérise par un réel manque de respect à l’égard du code de la route et des autres usagers.

D’après le sondage, 82% des piétons traversent en dehors des passages cloutés, 58 % des cyclistes prennent le trottoir (ce qui est interdit). Par ailleurs 40% des usagers de glisse urbaine passent tout prêt des piétons à une vitesse grand V au point que 57% les piétons s’offusquent.  Par ailleurs, 80 % des automobilistes s’énervent jusqu’à insulter les autres usagers. Le même comportement concerne également 45% des cyclistes, 38 % des piétons et 29 % des usagers de glisse urbaine.

 

Des conduites Ă  risques

Bien que la vitesse inadaptée ou excessive soit la première cause des décès sur les routes, 8 Français sur 10 roulent toujours trop vite. Néanmoins, pour 2018, 78% des conducteurs font des conduites à risques, contre 83 % l’année dernière. Bon nombre d’automobilistes négligent ou ignorent encore les risques liées à la vitesse au volant. 76 % d’entre eux sont, de ce fait, s’oppose à la limitation de vitesse maximale à 80 km/h sur le réseau secondaires en vue le 1er juillet.

Pourtant, l’enquĂŞte rĂ©vèle aussi que seulement 13% des conducteurs français se sentent en sĂ©curitĂ© sur les routes ; 38 % avouent le contraire et 49% sont mitigĂ©s. Les principales raisons sont le mauvais comportement des usagers  (85%), la qualitĂ© des infrastructures (56%) et le manque ou l’absence de signalisation des dangers (23%). Outre la vitesse, on constate que l’alcool et le tĂ©lĂ©phone au volant font Ă©galement partis des facteurs les plus frĂ©quents d’accidents sur les rĂ©seaux routiers. En effet, 27% des automobilistes affirment avoir bu plus de deux verres d’alcool, contre 28% en 2017.