Les décès sur les routes de l’Hexagone ont diminué pour le premier mois de cette année par rapport à celui de 2017, indique la Sécurité routière. Les statistiques des accidents semblent alors témoigner de l’inversion de la courbe enregistrée l’année dernière sur le nombre de morts.

Une tendance à la baisse…

Le taux de mortalité routière s’est légèrement réduit en janvier par rapport au même mois de 2017. D’après la sécurité routière, ce résultat pourrait confirmer que une baisse du nombre de décès sur les routes françaises au cours de cette année. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : janvier a enregistré 235 décès, soit 20 personnes de moins qu’en janvier 2017, d’après la Sécurité routière.

Pour rappel, la France avait connu trois années consécutives de hausse depuis 2014. Mais à la fin de 2017, le pays a enregistré une légère diminution du nombre de morts sur les routes : 45 tués de moins qu’en 2016, soit une baisse de 1,2 % sur toute l’année. En janvier 2018, le nombre de blessés est aussi en recul, annonce la Sécurité routière : 5 418 personnes concernées, soit 318 de moins qu’en janvier de l’année dernière. Dans les Outre-mer, le taux de mortalité en janvier se réduit également : 7 de moins qu’au même mois de 2017.

 

La limitation de vitesse à 80 km/h remise en cause

Devant cette baisse du taux de mortalité routière, l’association « 40 millions d’automobilistes » insiste encore sur la nécessité de renoncer à cette mesure sur la réduction de vitesse maximale à 80 km/h. Elle estime que la réforme serait inefficace. Ces conducteurs, rappelons-le, ont contesté les résultats de l’expérimentation réalisée par l’Etat.  Ils jugent en effet que la limitation de vitesse ne garantirait pas la diminution du nombre de morts sur les routes.

Malgré ces données fournies par la Sécurité routière et la réclamation de l’association, il semble que le gouvernement ne compte pas revenir sur sa décision. Pour justifier sa décision, le Premier ministre, lui, réitère le constat de la Sécurité routière disant : « l’analyse des accidents mortels en 2017 montre que la vitesse excessive ou inadaptée reste la cause principale, suivie de la surconsommation d’alcool. ». Mais de leur côté, les membres de « 40 millions d’automobilistes » soulignent que l’ « Etat n’a pas tout révélé », en s’appuyant sur les fichiers BAAC de 2015 et de 2016, années pendant lesquelles la vitesse maximale a déjà été réduite à 80 km. Selon l’association, ces documents indiquent que, au contraire, le taux d’accidentalité routière a augmenté durant cette période-là.  La dissension continue…

Dans la continuité des initiatives prises par Paris pour limiter la pollution de l’air, Anne Hidalgo a fait savoir les nouvelles mesures qui vont s’appliquer aux véhicules diesel dès 2019.

 

 

Véhicules diesel : à exclure de la circulation à partir de 2019

Il semblerait que la circulation différenciée mise en place à Paris et sa petite couronne vers le début de l’année 2017 ne suffit plus à faire disparaître les effets désastreux des particules fines émises par les véhicules. En effet, la maire de Paris vient de communiquer une mesure plus radicale : « les voitures portant les vignettes Crit’Air 4 seront interdits au premier semestre 2019 ». Cette catégorie correspond aux véhicules diesel respectant la norme Euro 3, immatriculés entre le 1^er Janvier 2001 et le 31 décembre 2005. Ainsi, cette disposition n’est que la première étape de l’opération « bannissement des véhicules diesel à Paris d’ici 2024 ».

Pour l’heure, seuls les propriétaires d’un véhicule électrique et hydrogène (Crit’Air vert) ou d’un véhicule hybride rechargeable (Crit’Air violet) sont à l’abri des répercussions de cette nouvelle réglementation, qui sera effective sous peu. Apparemment, la mairie de Paris ne laisse pas beaucoup de choix aux propriétaires de véhicules diesel.

 

Les automobilistes : en position difficile

À Paris, les diverses mesures prises ces deux dernières années pour rendre le trafic routier moins polluant ne jouent pas forcément en faveur des automobilistes. À commencer par l’apposition obligatoire d’une vignette pollution en 2017 pour mieux identifier et réglementer la circulation des véhicules « trop polluants ». Suivie ensuite de l’augmentation du Frais Post-Stationnement, qui n’a épargné personne peu importe le modèle de son véhicule. On mentionne également la limitation de vitesse à 80km/h sur certaines routes départementales qui oppose la Sécurité Routière à l’association « 40 millions d’automobilistes ». Bien que les intentions derrière ces décisions sont justifiables, les applications semblent parfois draconiennes, à tel point que les répercussions font souffrir le budget de certains.

De ce fait, il faudra réfléchir à une autre alternative, une solution plus pérenne et plus économique que de s’occuper de son propre véhicule. Certains ont déjà adopté le transport en commun, le vélo taf ou encore le VTC pour assurer leurs déplacements sur Paris et ses alentours. Pratique et abordable, les services VTC séduisent actuellement plus d’un. Parmi eux, Eden Transports mise  sur le professionnalisme et la réactivité de son équipe pour satisfaire ses clients. Il met ainsi à leur disposition des voitures haut de gamme avec chauffeur, dotées d’un aménagement soigné pour assurer le maximum de confort aux passagers.

Dans les transports publics, les problèmes liés à l’accessibilité et à la mobilité des personnes en situation d’handicap sont encore loin d’être résolus. Le fait que seule une ligne de métro leur soit spécialement réservée en région parisienne illustre parfaitement cette réalité.

Problématique de mobilité : tout le monde est concerné

Selon l’OCIRP (Organisation Commun des Institutions de Rente et de Prévoyance), 850 000 personnes en France se trouvent dans une situation de handicap moteur. Ce chiffre inclut malheureusement des étudiants, des travailleurs et des personnes âgées qui se déplacent en transports commun ou en voiture individuelle inadaptée. La plupart d’entre eux sont ainsi confrontés à une vraie contrainte au quotidien : l’accessibilité. Pourtant, la loi du 11 février 2005 prévoit de rendre plus accessibles à ces individus les transports et les bâtiments accueillants. Et la réalité est loin d’être le cas. Pour preuve, il n’existe à Paris qu’un métro particulièrement conçu pour les personnes à mobilité réduite.

En outre, il est également important de rappeler que le problème d’accessibilité ne concerne pas uniquement les individus en situation de handicap. En effet, il concerne aussi les parents avec des poussettes, le jeune garçon qui s’est fait mal au foot le week-end, les séniors en perte d’autonomie, etc. La mobilité reste, de plus, un moyen incontournable permettant de construire une vie sociale saine : aller à l’école, trouver un emploi, se promener… Bref, il convient d’avoir une vision globale de cette problématique des transports-déplacements.

 

Une alternative à ces problèmes s’offre toutefois aux PMR…

Bien que l’accessibilité soit encore un problème en France, une alternative est déjà proposée par des sociétés privées exerçant dans le domaine du « Voiture de Transport avec Chauffeur ». C’est le cas d’Eden Transports qui met à disposition des personnes à mobilité réduite (PMR) un service totalement adapté à leurs besoins. Les prestations ne s’adressent pas seulement aux individus souffrant d’une altération physique, mais aussi à ceux atteints de trouble sensorial ou mental. Comme point commun, ces personnes ne peuvent pas se déplacer sans accompagnement.

Tout est alors pensé pour offrir un maximum de confort et de sécurité aux PMR. Les véhicules proposés par la société sont dotés d’équipements spécialement adaptés, et le personnel à la fois diplômé et formé. Par ailleurs, la réservation se fait à tout moment en ligne, en remplissant un simple formulaire. L’itinéraire est aussi préparé à l’avance, car le conducteur se tient toujours au courant des trafics en temps réel. Contrairement au taxi, bus ou métro, cette solution est donc loin de mettre la personne concernée dans une situation inconfortable et stressante.

S’arrêter sur le bord de la route pour utiliser son téléphone ne suffit pas pour échapper à toute sanction. Il convient de stationner sur un parking pour se servir de son portable. En effet, la cour de cassation juge qu’une voiture garée sur la voie publique est considérée comme étant toujours en circulation.

Faire la différence entre le mouvement et la circulation

Arrêter son véhicule sur la voie publique pour utiliser son téléphone ne permet pas d’échapper à tout procès-verbal. L’automobiliste doit réellement se garer sur un emplacement conçu à cet effet. De ce fait, un conducteur risque toujours de verser une amende pour l’usage du portable tenu en main, même s’il serait en stationnement.

Les juges soulignent en effet la différence entre le mouvement et la circulation. Selon un jugement rendu le 23 janvier dernier, une voiture arrêtée, moteur éteint, peut être vue comme étant toujours en circulation. Cette précision de la part de la Cour fait suite à la contestation d’un conducteur ayant reçu un PV lorsqu’il avait garé son véhicule dans un rond-point pour téléphoner. Un automobiliste commettant ce type d’infraction est alors passible d’une amende de 135 euros et de la perte de trois points de permis pour 3 ans.

 

La Cour de cassation fait toutefois exception

Cette restriction sévère consiste à réduire les risques d’accident sur les voies publiques. Néanmoins, cette jurisprudence fait une exception : ils admettent qu’en cas de panne, le conducteur peut bien se servir de son téléphone, même s’il s’arrête sur une voie de circulation. L’automobiliste est, dans tous les cas, censé contacter le garage ou le technicien le plus proche pour régler rapidement le dysfonctionnement rencontré.

Toutes ces mesures sont le signe d’une lutte accrue contre les problèmes de sécurité routière. C’est d’ailleurs dans cette ambition que les agences comme Eden transports propose le service de VTC. Le recours au « Voiture de Transport avec Chauffeur » permet aux usagers d’éviter les risques d’accident liés à l’usage du téléphone au volant ou encore aux pannes techniques … Puisque qu’il a son conducteur, le passager est libre d’utiliser son téléphone l’esprit tranquille, dans une atmosphère bien confortable.

La nouvelle a presque fait scandale la semaine dernière. En l’absence d’un rapport officiel du gouvernement sur l’expérimentation 80km/h, l’association « 40 millions d’automobilistes » a pris l’initiative de publier le résultat de ses propres investigations.

 

 

Première constatation : plus de blessés

Mi-juillet 2015, la limitation de la vitesse à 80km/h a été appliquée en expérimentation sur trois tronçons répartis sur la RN57, la RN151 et la RN7. « 18 accidents, 3 tués et 18 blessés hospitalisés plus de 24 heures sur la période de juillet 2015 à juin 2017 » selon l’Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière (ONISR). Sur ces chiffres, l’association des automobilistes et la Sécurité Routière semblent d’accord, mais c’est surtout au niveau de l’interprétation que tout se joue.

En plongeant dans les fichiers du Bulletin d’Analyse des Accidents Corporels de la Circulation (BACC), l’association en question a pu prélever des statistiques alarmantes sur les 18 mois d’observation. En effet, le bilan de l’accidentalité routière n’est pas réellement encourageant : le nombre de victimes augmente de 10% en comparaison avec la même période précédant l’expérimentation. Pour le mouvement, cette nouvelle donne constitue une base d’argumentation solide pour dissuader le gouvernement dans l’adoption de cette loi limitant la vitesse à 80km/h sur les routes nationales et départementales.

 

Une étude qualifiée de « biaisée »

C’est alors que la Sécurité Routière défend sa position, en évoquant que « ces chiffres se sont nettement améliorés par rapport aux constatations enregistrées entre 2010 et 2014 ». Elle fait également mention d’une éventuelle erreur sur la délimitation des trois tronçons étudiés, gonflant ainsi le taux de mortalité relevé. En outre, elle dénonce une extrapolation hâtive des faits de la part du président de 40 millions d’automobilistes, qui a estimé « 1 tué tous les 28.7 km sur les parcours observé contre 1 tué sur les 202 km sur le reste du réseau ».

En disséquant le rapport émis par l’association, le Délégué de la Sécurité Routière insiste sur la baisse significative du nombre de personnes blessées grave, même si le taux de mortalité routière est resté le même (c’est-à-dire 3). Au final, c’est plutôt le nombre des victimes légèrement blessées, passant de 7 à 20, qui a bombé le bilan en question.

Quoi qu’il en soit, la limitation de vitesse à 80km/h a du mal à faire ses preuves auprès des automobilistes et des motards en France. Ces derniers exigent surtout de la transparence de la part du gouvernement, sur la fiabilité de cette mesure et de sa mise en œuvre, pour les convaincre. De plus que certains considèrent cette décision comme une nouvelle source de revenus de l’État pour rentabiliser leurs dispositifs radars. Au gouvernement de démontrer le contraire.

Le 1^er février, l’Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière (ONISR) a émis le bilan provisoire de l’accidentalité en France métropolitaine et DOM/TOM sur l’année 2017. La tendance est nettement en baisse, mais les efforts ne doivent pas être relâchés.  

 

 

Sécurité routière : les grandes lignes du rapport de l’ONISR

D’un point de vue général, les chiffres ont sensiblement diminué par rapport aux résultats de l’année 2016. Le nombre de décès sur route de l’année précédente est de 3 783 contre 3 693 en 2016, c’est-à-dire qu’on aurait épargné 45 vies. Ceci peut être considéré comme une nouvelle réconfortante, mais « pas assez satisfaisante » d’après l’Association de Prévention Routière (APR).

En effet, le taux de mortalité routière a connu un rebondissement inquiétant sur ces 3 dernières années consécutives après une année plus calme en 2013. De plus, le taux d’hospitalisation suite aux accidents routiers en France métropolitaine a connu une légère augmentation d’environ 2%. La vitesse et la circulation à contresens sont évoquées par l’ONISR comme étant le déclencheur des accidents mortels sur autoroute, tandis que l’alcool et le non-respect des règles de priorité en sont les causes principales en agglomération.

 

Des mesures pour limiter le taux de mortalité routière

En attendant la publication de la statistique définitive prévue pour le mois de juin, l’APR continue de sensibiliser les automobilistes à respecter les mesures prises pour faire baisser le nombre de victimes d’accidents sur nos routes. À l’heure actuelle, l’association regrette l’insuffisance des opérations de prévention dans les établissements scolaires et chez les jeunes conducteurs. Ainsi, le renforcement de l’apprentissage des règles de sécurité reste la priorité pour l’association. En parallèle, les autres dispositions seront appliquées d’une manière plus stricte : le zéro alcool au volant, l’installation de nouveaux radars mobiles, la multiplication des zones piétonnes ou encore la limitation de vitesse à 80km/h sur les routes nationales et départementales. Bien que certains automobilistes et motards jugent ces mesures comme étant « répressives », le délégué interministériel à la Sécurité Routière estime que « entre 350 et 400 vies seront sauvées » grâce à ces décisions.

Mais quel est le rôle joué par les VTC dans l’atteinte de l’objectif 2020 « moins de 2000 morts sur nos routes »? D’abord, ils garantissent une sécurité optimale pour ses clients car les chauffeurs VTC doivent obligatoirement réussir un examen rigoureux suivi d’une formation spéciale avant d’exercer leur métier. Parmi les plus fiables, Eden Transports se distingue particulièrement par la flexibilité de ses prestations, allant d’un transfert gare-aéroport jusqu’au transport collectif, en passant par les sorties ou excursions sur Paris et ses alentours. Avec son autorisation préfectorale de circuler dans les voies de bus, les véhicules d’Eden Transports présentent à la fois l’avantage de la ponctualité et celui de la fiabilité.

Du 17 au 18 et 24 au 25 Février prochains, aucun train de la ligne RER B ne pourra desservir l’aéroport Charles-de-Gaulle. En cause, d’importants travaux qui seront effectués au niveau des voies. Explications… 

 

 

CDG : RER B coupé pour des travaux

La RATP va procéder pendant deux week-ends au renouvellement des voies de la ligne RER B sur l’axe reliant Aulnay-sous bois-aéroport Charles-de-Gaulle. De ce fait, le trafic sera interrompu jusqu’à l’achèvement des travaux prévu le 25 Février.

Pour faire face aux désagréments occasionnés par la fermeture de la ligne, la RATP suggère aux usagers des navettes de bus comme solution provisoire. Ces dernières assureront ainsi le trajet entre les gares de Mitry-Claye et l’aéroport. Le service commence à 5 heures et un bus part toutes les dix minutes. Pour le temps de trajet, il faut compter à peu près 30 minutes.

 

De fréquentes perturbations sur les RER

Ces dernières années, on assiste à des perturbations de plus en plus fréquentes sur certaines lignes de RER. Ces perturbations sont le lot quotidien de millions d’usagers de la SNCF. Les motifs peuvent être divers : mouvement de grèves, saturation, incident, travaux…. Quand le cas se présente le manque de solution alternative se fait toujours sentir au niveau des usagers.

La fermeture annoncée de la ligne RER B menant à l’aéroport Charles-de-Gaulle illustre bien ce problème. Outre le moyen de substitution proposé par la RATP, une autre solution se présente néanmoins aux usagers. En effet, Eden Transports, une société qui évolue dans le domaine du transport de personnes, propose le service « Navette aéroport Charles-de-Gaulle ». Ce professionnel offre un service sur-mesure allié à des prestations de qualité. Eden Transport mise avant tout sur la ponctualité et le confort dans le but d’offrir un service inédit. Ainsi, dès son arrivée à l’aéroport, le client bénéficie d’un accueil personnalisé. Ce dernier est accueilli par son chauffeur devant le terminal de sortie. A bord d’un véhicule haut de gamme, le client rejoint rapidement et en toute sécurité son lieu de destination.

Côté tarifs, Eden Transports est ce qui se fait de mieux sur le marché puisque le coût de la prestation revient moins cher qu’un taxi. En se rendant sur le site de la société, chacun peut, en quelques clics, demander un devis rapide ou effectuer directement une réservation.

Les premiers chiffres sur le renouvellement du système de stationnement payant sont désormais disponibles. À Paris, le bilan s’annonce lourd et prévoit une évolution au même rythme.

 

 

PV : état des lieux pour le mois de Janvier

Pour rappel, le forfait post-stationnement (FPS) n’est autre que la redevance de stationnement, autrement connue sous le nom de PV en France. L’augmentation de FPS  sur tout le territoire a été annoncée en fin d’année 2017, et son application a été immédiate dès le premier jour de cette année.

La loi organique stipule que chaque ville est autonome dans la fixation de leur nouvelle tarification, selon la politique de gestion de ces dispositifs. De ce fait, des écarts énormes sont observés dans la pratique de cette décision, allant de 10€ d’amende à Castres jusqu’à 60€ dans le centre de Lyon. Pour Marseille, Yerres ou Vigneux-sur-Seine, qui ont exceptionnellement maintenu leur tarif forfaitaire à 17€, ils ont opté pour un renforcement des contrôles routiers, notamment avec l’utilisation de ScanCar ou en sollicitant les prestations de sociétés privées.

De son côté, la mairie de Paris a recensé en un mois à peu près 260.000 FPS dressés à l’encontre des automobilistes en région parisienne, soit une estimation d’environ 3 millions FPS à la fin l’année. En tout cas, le bilan démontre une conséquente augmentation de paiements spontanés, jusqu’à 40% sur Paris, justifiée par une minoration des amendes réglées dans les 5 jours suivant la constatation.

 

Servir de son propre véhicule : plus de dépenses à prévoir ?

La durée de stationnement, la surface occupée par le véhicule ou encore son impact sur la pollution atmosphérique rentrent dans le calcul de l’établissement de la grille tarifaire de stationnement, d’après le Code Général des collectivités territoriales. Et encore, sur la plupart des villes, le montant pour chaque heure de stationnement grimpe graduellement, parfois jusqu’à 4 fois plus cher pour la même place de parking. Ainsi, les automobilistes doivent toujours réserver quelques euros en plus dans leur portefeuille, car la redevance à régler peut très vite grimper en l’espace de quelques heures. Sans parler des autres factures à payer pour le carburant, l’entretien de sa voiture et les autres imprévus. Une vraie galère !

Au vu de ces faits, se convertir vers les services VTC, comme ceux proposés par Eden Transports, s’avère intéressant et surtout économique. Avec un tarif estimé en avance lors de la réservation en ligne, les clients auront une maitrise totale sur leur budget et ainsi éviter les mauvaises surprises. D’ailleurs, la plateforme affiche un coût de prestation inférieur à celui proposé par les taxis sur quasiment l’ensemble des déplacements sur Paris et ses alentours. En outre, une équipe réactive et un chauffeur ponctuel sont à disposition des clients 24h/24 et 7j/7 pour satisfaire leurs demandes.

Chaque année, le défi est de taille pour réussir un sans-faute le jour de la Saint-Valentin. Balade romantique ou dîner en tête-à-tête, le secret est de savourer chaque instant qu’on passe avec la personne qu’on aime.

 

 

Des idées originales pour surprendre

Si la Saint-Valentin est un jour comme un autre pour certains, d’autres tiennent absolument à célébrer la fête des amoureux. Seulement, le 14 février tombe en pleine semaine et tout le monde n’a pas forcément eu le réflexe d’organiser et de réserver en avance. Au final, on passe la soirée de la Saint-Valentin sur les Champs Élysées, au pied de la Tour Eiffel, ou à croiser des couples toutes les deux minutes pendant la balade sur les quais de Seine. Pourtant, Paris « la ville romantique » a tant d’endroits authentiques et intimistes à faire découvrir.

La Fontaine Médicis du Jardin de Luxembourg est l’endroit à choisir par excellence. Nichée au cœur d’un jardin discret, cette ancienne grotte bâtie du temps de la Reine Marie de Médicis offre une sérénité totale dans un décor presque féérique.

Pour changer de  cadre, la charmante Place de Fürstenberg, « l’âme de Saint-Germain-des-Près » dit-on, est également à envisager pour un rendez-vous à deux. Parcourir ses petites ruelles discrètes, éclairées par le lampadaire sur la place principale à la tombée de la nuit, vous plonge dans une autre époque, où le temps semble se figer.

Enfin, admirer Paris d’en haut reste une idée intemporelle, et permet surtout d’avoir un moment à deux, dans un endroit calme et privé. Depuis un rooftop d’hôtels ou une terrasse privatisable, le choix ne manque pas pour passer une soirée romantique autour d’un dîner. Avec un peu de chance, vous pouvez dénicher un petit coin de paradis sur les applications de location entre particuliers.

 

Un rendez-vous galant : toujours avec classe

Si vous avez décidé de jouer la carte du romantisme, alors autant aller jusqu’au bout ! Pensez à réserver une voiture avec chauffeur privé, afin de profiter à maximum de votre journée ou de votre soirée, sans le stress de la conduite. Les prestataires VTC sont en grand nombre sur Paris et ses alentours, mais mieux vaut choisir un service vraiment fiable et professionnel pour réussir vos projets.

Avec un service ponctuel à chaque déplacement, Eden Transports s’assure que l’itinéraire concorde parfaitement à votre heure de réservation dans un restaurant ou dans l’endroit que vous aurez choisi. Non seulement le tarif de la prestation est affiché d’avance, mais il est beaucoup moins cher que celui proposé par un taxi, et avec un service personnalisé en plus. Vous pouvez même réserver à la dernière minute si l’envie de visiter Paris sous ses lumières vous tente.

Sinon, le service VTC d’Eden Transport reste disponible tout au long de l’année, 24h/24 et 7j/7 pour une petite virée en amoureux quand vous voulez.

Les répercussions de la crue de la Seine continuent à fragiliser le transport ferroviaire parisien. La SNC a indiqué ce dimanche 11 février que la gare de Saint-Michel-Notre-Dame sur le RER C sera fermée au moins jusqu’à la fin de ce mois. En outre, les autres lignes circulent de nouveau depuis samedi 10 février, mais ne marquent pas l’arrêt.

De l’amiante s’est infiltrée dans le plafond de la station

Après avoir soulevé en premier lieu les « travaux de rénovation » de réseau pour justifier la fermeture de cette station, la RER C évoque actuellement le désamiantage. En effet, pendant la crue, de l’eau a pénétré dans le plafond de la gare, ce qui fait tomber régulièrement des morceaux d’amiante. Ainsi, e directeur de la ligne, Bertrand Gosselin, a précisé que son équipe est encore à la phase d’étude des différents travaux nécessaires à la remise en sécurité de la station.

Selon lui, il faudra recouvrir le plafond d’une bâche étanche en attendant que le désamiantage complet soit achevé. Le directeur général de Transilien, Alain Krakovitch, a donc décidé de fermer cette gare pour au moins deux 2 semaines. Pour ne pas nuire à la circulation des trains, « les travaux ne pourront être effectués que de nuit durant 3 à 4 heures », a-t-il souligné.

 

De nombreuses perturbations malgré la reprise des circulations

Si le reste de la ligne fonctionne de nouveau après 2 semaines d’interruption, les désagréments causés par la crue et les travaux de rénovation de réseau continuent. Et le cas des usagers coincés pendant trois heures à bord d’un train en panne le 05 février dernier illustre bien la galère au quotidien des passagers. Retards, annulations, attentes interminables et bien d’autres problèmes risquent toujours de survenir dans les mois à venir.

De ce fait, les 100 000 usagers qui empruntent quotidiennement le RER C à la gare Saint-Michel doivent souvent trouver d’autres solutions pour arriver à l’heure. Et c’est pour cette raison justement que les agences comme Eden Transports propose une alternative durable, loin des contraintes citées ci-dessus : il s’agit du VTC. Ce service « Voiture de Transport avec Chauffeur » est actuellement de plus en plus sollicité par les usagers qui veulent éviter les galères à la gare ou dans les bus. À travers cette offre, toute une panoplie de prestations de location de véhicule est à disposition des particuliers et des entreprises. La réservation se fait rapidement en ligne et le montant à payer est toujours connu en avance.