Grève à la SNCF : des perturbations en vue le 22 mars

À l’initiative de sept syndicats de la fonction publique, les fonctionnaires prévoient une grève générale le jeudi 22 mars. Du fait que ce mouvement sera d’envergure nationale, les perturbations dans les transports et les services publics devraient être considérables.

 

Grève nationale dans le transport public le 22 mars 2018
Grève dans les transports : des perturbations en vue le 22 mars prochain

 

Les préavis s’accumulent…

La France risque de souffrir le jeudi 22 mars prochain à cause de la mobilisation générale programmée ce jour-là par les syndicats des travailleurs du transport. Unsa-ferroviaire, Sud-Rail, FO, CFDT-Cheminots sont déjà prêts à rejoindre ce mouvement pour contester la réforme voulue par le gouvernement concernant la SNCF. La CFDT-cheminots aurait même sollicité une mobilisation illimitée tandis que l’Unsa-ferroviaire voulait l’engager bien avant la date prévue lors de la réunion de l’intersyndicale du 27 février.

Mais bien que jusque-là cette grève soit prévue pour une journée, elle pourrait gravement nuire à l’ensemble du transport dans l’Hexagone, puisque l’USAC-CGT, union syndicale de l’aviation civile – CGT, a aussi déposé son préavis le 5 mars, et compte reproduire le 22 mars la mobilisation du 22 février 2018, avec au moins 300 vols annulés. Pour rappel, les hôtesses de l’air, stewards, pilotes et agents au sol demandent une augmentation des salaires de 6%. Ainsi, la grève affectera à la fois le transport ferroviaire et aérien.

 

Transports en commun, de plus en plus cher en France

De son côté, le Premier ministre Edouard Philippe continue d’affirmer que la réforme de la SNCF et du rail est incontournable et urgent. Il compte même recourir aux ordonnances pour faire avancer rapidement le projet. Selon lui, la réalité est que les français paient de plus en plus cher pour se déplacer en transports en commun, alors que le service devient de moins en moins satisfaisant.  La situation actuelle de cette société ferroviaire publique est donc « alarmante, pour ne pas dire intenable. », insiste-t-il.

Face à cette condition peu sécurisante et l’avenir encore incertain du transport en commun en France, bon nombre d’usagers se sont déjà tournés vers des alternatives plus pratiques et confortables. Parmi celles-ci, on retrouve le service de VTC qui a pris un essor remarquable ces dernières années en France, du fait de ses nombreux avantages rapport aux trains, bus et taxis. Eden transports fait partie de ces entreprises de « Voiture de Transport avec Chauffeur » proposant toute une gamme de prestations adaptée à chaque type de clients : particuliers, professionnels, personnes à mobilité réduite, etc. Puisque la réservation se fait rapidement en ligne, le prix total est toujours connu en avance.

VTC : attention aux chauffeurs illégaux !

En France, des chauffeurs auraient recours à des faussaires avant de s’inscrire sur les plateformes en ligne. Il s’agit de ces conducteurs qui veulent éviter les nouvelles obligations pour l’obtention de la carte professionnelle. Heureusement, un nouveau format de carte beaucoup plus sécurisé est déjà entré en circulation afin d’en finir avec ce type de fraude.

Des conducteurs s'adressent à des falsificateurs pour avoir leur carte professionnel VTC. Pour mettre un terme à ces fraudes, un nouveau format de carte est déjà en circulation actuellement.
Des chauffeurs font appel à des faussaires pour obtenir facilement la carte professionnelle VTC.

Des réseaux de faussaires de carte VTC…

Une méthode illicite est actuellement pratiquée par certains chauffeurs pour avoir une carte professionnelle VTC. Voilà une révélation faite par Sayah Baaroun, représentant du syndicat SCP VTC. Selon lui, plusieurs dizaines de faussaires vendent aujourd’hui des cartes illégales en France. Rappelons que plusieurs conditions sont exigées pour s’en approprier légalement : avoir le permis B de plus de 3 ans, un casier judiciaire vierge et valider un examen VTC. Mais les conducteurs qui font appel à cette forme de fraude veulent échapper à ces nouvelles contraintes pour l’obtention de la carte, affirme-t-il.

En effet, les policiers de la DRPP avaient déjà identifié un réseau d’escrocs de carte professionnel VTC en février 2017. Ils ont pu déceler près de 1000 fraudeurs éparpillés dans tout l’Hexagone, notamment des sans-papiers. De ce fait, le syndicaliste Sayah Baaroun estime que le nombre de ces conducteurs illégaux pourraient avoir largement augmenté depuis. La préfecture de police de Paris, de son côté, avoue qu’elle décèle effectivement des fausses cartes, mais « pas quinze par jours » toutefois. Elle entend par là que le nombre de ces resquilleurs n’aurait pas pour autant quadruplé ni triplé.

 

Une nouvelle carte plus sécurisée pour réduire les risques

Une fois que la carte falsifiée est en ses mains, le chauffeur peut s’inscrire facilement sur les plateformes en ligne. Ces dernières « ne vérifient pas l’authenticité des documents » fournies par le postulant, indique, Jean Luc, un conducteur professionnel de VTC. Selon lui, c’est uniquement lors d’un contrôle qu’on parviendra à s’assurer de la véracité des documents. Même les dossiers communiqués à la préfecture sont des photocopies. Et dans le cas où une fausse carte est identifiée, une enquête sera évidemment ouverte pour « faux » et « usage de faux ».

Mais il faut savoir qu’un nouveau format de cartes VTC est déjà en circulation après les fraudes de 2017. Très difficile à falsifier, il est imprimé au format carte de crédit, dotée d’un QR code qui réunit les informations sur le conducteur : identité, date d’inscription, etc. Ainsi, Pierre Pipéris, responsable des Boers à la préfecture de police de Paris, estime que le nombre de fausses cartes en circulation est en baisse depuis la mise en place de ce nouveau format.

Harcèlement dans les transports : Ile-de-France lance une nouvelle campagne

Main sur les fesses, frottements, regards déplacés… les cas d’harcèlement sexuel dans les transports en commun ne cessent de grimper. Pour contrer ce fléau, Ile-de-France mise sur la sensibilisation via sa nouvelle campagne.

 

Harcèlement dans les transports : Ile-de-France lance une nouvelle campagne
Transports en commun : « Ne minimisons jamais le harcèlement sexuel »

 

Grande campagne de communication

Le lundi 5 mars dernier, la région Ile-de-France Mobilités, la RATP et la SNCF ont lancé leur campagne commune : « Ne minimisons jamais le harcèlement sexuel ».

Des milliers d’affiches ont ainsi été collées dans les métros et les bus. On peut y voir des femmes au visage apeuré en train de s’agripper à une barre de métro. Derrière elles, les agresseurs qualifiés de prédateurs sont symbolisés par des animaux. Et accompagnant chaque image, il y a deux numéros d’urgence : 3117 par téléphone et 31177 par SMS.

Visant à « responsabiliser les usagers », cette campagne s’adresse autant aux victimes qu’aux témoins des agressions. Interviewée sur France inter, Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile-de-France a souligné : « 43% des violences graves contre les femmes sont commises, non pas dans la rue mais dans les transports ». Malheureusement, pour d’une raison ou d’une autre, il y a une « sous-déclaration » a-t-elle déploré.

 

Harcèlement en hausse dans l’hexagone

Les transports en commun sont source de stress et d’inquiétude pour de nombreuses femmes. Et la récente étude réalisée par l’Observatoire nationale dans la délinquance et des réponses pénales (ONDPR) le confirme. En effet, celle-ci révèle qu’une femme sur deux se sent en danger quand elles sont dans une gare, un métro…

En se référant aux résultats d’enquêtes publiés par la Fondation des usagers des transports (FNAUT), on comprend mieux cette crainte. D’après ce rapport, neuf femmes sur dix ont déjà été victimes d’harcèlement dans les transports en commun. Celui-ci peut se traduire par des gestes (main sur les fesses, frottement…) ou par des mots (intimidants et sexistes).

Malgré les diverses mesures prises par les politiques pour contrer ce fléau, le harcèlement sexuel est loin d’être neutralisé dans les transports en commun. Jusqu’ici, le moyen le plus sûr pour se déplacer à Paris reste les VTC dont Eden Transports. Les chauffeurs ont été formés, non pas pour conduire une personne d’un point A à un point B mais pour lui assurer un réel accompagnement.

Voiture personnelle, de moins en moins utilisée en France ?

46 % des Français qui se déplacent en voiture personnelle effectuent des trajets quotidiens inférieurs à une demi-heure. Voilà un des résultats d’une enquête réalisée mi-janvier par Harris interactive.

Un sondage réalisé par Harris interactive révèle que près de la moitié des Français passent moins de 30 minutes à conduire leur véhicule individuelle. La même enquête indique également qu'à l'arrivée, 56 % des personnes interrogées ont l'impression de perdre du temps avec leur voiture.
56% des Français déclarent avoir l’impression de perdre du temps en conduisant sa voiture personnelle.

Près de la moitié des Français utilisent leur voiture moins de 30 minutes par jour

Une enquête en ligne effectuée du 9 au 11 janvier 2018 par l’entreprise de sondage Harris interactive affirme qu’un Français sur deux (46 %) utilise leur voiture moins de 30 minutes par jour. Ces statistiques ressortent en effet d’un sondage portant sur une thématique plus large : le rapport des Français au temps. Parmi les 1 001 personnes représentatives interrogées, 54 %  se servent de leur véhicule quotidiennement ; 21% d’entre elles ne l’utilise que 3 ou 4 fois par semaine.

Toujours concernant le temps passé au volant, 13% des personnes sondées affirment utiliser leur voiture moins de 15 minutes par jour, et les 34 % entre 30 minutes et 1 heure par jour. Seulement 4 % conduisent pendant plus de 2 heures quotidiennement. Et plus de la moitié (56%) des interrogés disent avoir, à l’arrivée, l’impression de « perdre du temps » avec leur véhicule.

 

Le VTC: alternative idéale pour un gain de temps et d’argent

On apprend donc par ces données qu’une bonne partie des Français conduisent leur voiture moins de 30 minutes par jour. Alors, pourquoi s’investir dans un véhicule personnel si l’on ne s’en sert qu’une trentaine de minute ? Les entretiens au garage, la place de stationnement, le carburant et bien d’autres frais sont autant de dépenses inévitables quant à l’usage d’une voiture individuelle.

Il faut noter d’ailleurs que le fait de posséder son véhicule personnel n’est plus le « schéma » d’aujourd’hui. Notamment par souci d’économie, de confort et pour l’environnement, bon nombre de français choisissent actuellement de se tourner vers des alternatives moins chères et plus pratiques dont les VTC.  Il s’agit bien du type de service proposé par les sociétés spécialisées comme Eden Transports afin de révolutionner la mobilité. En effet, le client n’a qu’à effectuer une réservation en ligne pour qu’un chauffeur professionnel vienne le prendre chez lui ou sur un autre lieu de rendez-vous. Grâce à ses nombreux avantages par rapport à l’usage d’une voiture personnelle, d’un taxi ou des transports en commun, les VTC sont sans cesse en croissance en France.

Transports en commun : l’insécurité toujours au rendez-vous ?

C’est malheureux de le constater mais en 2018, l’insécurité dans les transports en commun est toujours une réalité. Un sentiment qui touche particulièrement les femmes selon une étude réalisée par l’Observatoire national dans la délinquance et des réponses pénales (ONDPR), en janvier dernier. Explications…

 

Transports en commun : une femme sur deux ne s'y sentent pas en sécurité
Transports en commun : une femme sur deux ne s’y sentent pas en sécurité

 

Insécurité pour une femme sur deux

En moyenne, 45% des usagers des transports en commun affirment se sentir en danger durant leurs trajets. Mais ce sentiment d’insécurité varie selon le sexe des voyageurs : 51% chez les femmes contre 38% chez les hommes. Si ces derniers sont davantage victimes d’agressions, les femmes font plutôt face à des comportements jugés « intimidants ou sexistes ». Malheureusement, ceux-ci sont souvent sous-estimés et entrent ainsi très rarement dans les statistiques.

Par ailleurs, cette inquiétude varie aussi selon les heures de trajet. Toujours selon cette étude, elle est particulièrement élevée entre 20h30 et 22h30. « Plus que la lumière, c’est la représentation sociale de la nuit que générerait le sentiment d’insécurité » a noté les auteurs du rapport. Et selon le jour, puisqu’elle est assez basse durant la semaine que le weekend. Une situation qui s’explique par la diminution importante des usagers durant les deux derniers jours de la semaine.

 

276.000 personnes victimes d’atteintes sexuelles

En deux ans, au moins 267.000 personnes dont « essentiellement des femmes » ont subi des atteintes sexuelles dans les transports en commun selon une précédente enquête de l’ONDRP. Des chiffres qui ne vont cesser d’augmenter vu le nombre de cas de délinquance signalés au cours de ces derniers mois. Le dernier en date implique un homme de 29 ans accusé d’atteintes sexuelles envers une passagère du RER A, dans la gare de Saint-Germain-en -Laye.

A croire que les diverses mesures mises en place pour contrer ces désagréments manquent d’efficacité. Pour se protéger, 26% des usagers sont obligés d’adopter une stratégie d’évitement selon le rapport « Cadre de vie et sécurité » mené par l’ONDRP et l’Insee, entre 2010 et 2013, sur le territoire national. Parmi eux, 15% choisissent leur déplacement en fonction du jour et des horaires, évitant ceux qui sont dit « chauds », 7% optent pour d’autres moyens de transport, 6% fuient certaines lignes et 4% détournent certains trajets.

Parmi les alternatives, Eden Transports est une référence sur Paris et ses alentours. En plus de ses offres flexibles qui s’adaptent aux demandes, l’agence assure confort et sécurité à ses clients. Tous les chauffeurs y ont été particulièrement formés. En outre, aucune mauvaise surprise ne vous attendra au point d’arrivée puisque le prix de la course sera fixé dès la réservation.

Vignettes : nouveaux tarifs à partir du 1er mars

Obligatoire dans plusieurs villes, la vignette Crit’air est indispensable pour circuler dans les zones de circulation restreinte ou en cas de pic de pollution. Depuis le 1er mars, son tarif est revu à la baisse ! Précisions…

 

Vignettes : nouveaux tarifs à partir du 1er mars
Crit’air : le prix des vignettes a baissé

 

Tarif en baisse !

Bonne nouvelle pour les automobilistes ! Depuis jeudi dernier, le prix des vignettes Crit’air a été révisé. Ainsi, il est passé de 3,70€ à 3,11€. A cela s’ajoute le frais d’envoi de 51 centimes, soit un total de 3,62€ au lieu de 4,18€. Une économie de quelques dizaines de centimes donc pour ceux qui n’ont toujours pas leur pastille.

Il est à noter que celle-ci est aujourd’hui obligatoire dans une trentaine de villes françaises. En effet, elle permet aux autorités d’identifier les véhicules les plus polluants et leur interdire l’accès.

Cette restriction peut être temporaire et ne s’applique que pendant les pics de pollution. Mais dans le cas de Paris ou de Grenoble, elle est permanente. Et pour cause, ces deux villes ont mis en place ce qu’on appelle : zone à circulation restreinte (ZCR). Seuls les véhicules disposant d’une pastille sur leur pare-brise peuvent y circuler en semaine entre 8h à 20h. Dans la capitale, la restriction est même beaucoup plus sévère puisqu’elle a bannit : les véhicules immatriculés avant 1997, les diesel d’avant 2011 et les deux-roues datant d’avant juin 2000.

 

Quelles amendes ?

En cas d’infraction, les automobilistes feront l’objet d’une amende. Elle est fixée à 68€ (contravention de 3ème classe) pour les voitures particulières et les deux roues contre 135€ (contravention de 4ème classe) pour les poids lourds et les autocars. Par ailleurs, le montant peut être majoré sans dépasser les 180€ (pour la 3ème classe) et les 375€ (pour la 4ème classe) si l’amende n’est pas réglée dans un délai de 45 jours.

Si à cela on rajoute le problème de stationnement sur Paris et l’augmentation du prix des PV, cela revient cher d’avoir une voiture. Sans parler des divers frais : carburant, entretien… Heureusement, des alternatives plus économiques existent sans pour autant perdre son intimité et son confort. Disponible 24h/24 pendant 7j/7, Eden Transports propose un service d’accompagnement sur la région parisienne. Pour satisfaire ses clients, l’entreprise propose diverses offres flexibles : navettes (aéroport / gare), voiture avec chauffeur privé, transport de personnes à mobilité réduite, transport scolaire ou événementiel…

Paris : les voitures bientôt bannies devant la Pyramide du Louvre ?

Après avoir fermé les quais aux voitures, restreint la circulation au niveau de la rue de Rivoli, la mairie de Paris envisage aussi d’interdire la circulation devant la Pyramide du Louvre. Explications…

 

Paris : les mesures anti-voitures se multiplientParis : les mesures anti-voitures se multiplient
Paris : les mesures anti-voitures se multiplient

 

Renforcement de la sécurité

La mairie de Paris multiplie les mesures visant à réduire la circulation sur la capitale. Dès le printemps prochain, c’est au niveau des grandes arches du Louvre qu’elle compte imposer des restrictions. Dans son nouveau plan, elle envisagerait ainsi à interdire l’accès aux voitures entre la rue de Rivoli à la Seine en passant par la place du Carrousel, devant la Pyramide.

Une mesure qui pourrait être envisagée pour des raisons de sécurité. En effet, le musée du Louvre a indiqué : « nos équipes, la Préfecture et de la mairie de Paris se rencontrent régulièrement pour évoquer ensemble diverses pistes pour un meilleur accueil des publics et des meilleures conditions de sécurité ». Par ailleurs, une restriction similaire avait déjà été appliquée au rond-point du Carrousel durant l’Euro 2016 et elle a été « positive du point de vue de l’accueil des visiteurs du musée » rappelle la direction.

 

Une mesure qui divise

Mais la sécurité ne semble pas encore être un argument convaincant. Dans Le Parisien, Jean-François Legaret, maire (LR) du 1er arrondissement a exprimé sa frustration sur ce sujet : « Maintenant, elle (Anne Hidalgo) veut fermer le rond-point du Louvre… Autant interdire toutes les voitures dans l’arrondissement ». De son côté, la préfecture de police affirme « redouter d’importants reports sur la rue Saint-Honoré des flux de circulation en provenance de l’avenue de l’Opéra et de la rue Richelieu et à destination de la rive gauche ».

En tout cas, si cette mesure devient effective, la circulation nord-sud devra adopter la même figure que dans le sens sud-nord. Dans cet axe, seuls les taxis et les bus de la RATP ont obtenu l’accès. Il reste encore à voir si les bus « open tours », fréquemment utilisés par les agences de voyages pour proposer une visite guidée de la capitale, pourraient aussi obtenir cette autorisation.

Neige : la communication de la SNCF et de la RATP à rude épreuve !

Avec la nouvelle vague de froid, le trafic est particulièrement perturbé en Ile-de-France depuis mercredi. Toutefois, ce n’est pas tant les perturbations qui irritent les usagers mais plutôt le manque d’informations de la SNCF et de la RATP. Explications…

 

Neige : la communication de la SNCF et de la RATP à rude épreuve !
Faille de communication : un problème récurrent chez la RATP et la SNCF

 

La communication passe mal !

Mercredi, l’Ile-de-France a été placée sous vigilance orange de « neige et verglas » par Météo France. Suivant cette annonce, des milliers de franciliens ont rapidement sorti leurs téléphones pour vérifier l’état du trafic des bus, des métros et RER. En effet, ce n’est pas la première fois que ce département est touché par une vague de froid. Ayant retenus les leçons des précédents épisodes, les habitants s’y préparent du mieux qu’ils peuvent.

Malheureusement, ce n’est pas sur les entreprises de transport public qu’ils pourront compter. Saturé, le site de la RATP a bugué pendant plus d’une heure aux alentours de 7h30. De son côté, la SNCF a eu du mal à relayer rapidement les informations aux voyageurs. Résultat : plusieurs milliers d’usagers se sont ainsi retrouvés sans aide et sans alternative sur les quais.

 

Des problèmes répétitifs

Loin d’être un cas isolé, ce défaut de communication est assez récurrent chez la RATP et la SNCF. L’année dernière, un problème électrique a interrompu le trafic à la Gare de Montparnasse. En plus d’être bloqués pendant des heures, les voyageurs peinaient pour obtenir des informations. Même chose en novembre dernier quand le réseau du RER A a été inondé, contraignant ainsi la fermeture de la ligne. Là aussi, les informations arrivaient à compte-gouttes. De quoi agacés les plusieurs milliers de voyageurs bloqués.

Interrogé par RTL sur cette situation, Benjamin Griveaux, le porte-parole du gouvernement s’est montré ferme : « les sites de la SNCF et de la RATP doivent pouvoir être en mesure de donner les informations » et ceci même dans « une situation exceptionnelle ». « A situation exceptionnelle, moyens exceptionnels » a-t-il conclut.

Face à ces désagréments, il vaut mieux anticiper en cas de rendez-vous important. Pour cela, optez pour les services de voiture avec chauffeur privée (VTC). Dotée de plusieurs années d’expériences dans ce domaine, Eden Transports propose des offres flexibles à prix très raisonnables. Pratique, il ne suffit que de quelques clics pour demander un devis en ligne ou effectuer une réservation. Et bénéficiant d’une dérogation préfectorale, nos véhicules peuvent emprunter les voies de bus pour contourner les embouteillages.

RER C : la station Saint-Michel inaccessible jusqu’à fin avril ?

Depuis maintenant plus d’un mois, la fermeture de la gare Saint-Michel perturbe le quotidien de ses quelques 60.000 usagers. Et la situation risque de ne pas s’arranger de sitôt car le SNCF vient d’annoncer le prolongement des travaux jusqu’à fin avril.

 

RER : les perturbations continuent
RER : les perturbations se multiplient

 

Pour des « raisons de sécurité »

Si la Seine a retrouvé son lit, la station Saint-Michel du RER C n’est toujours pas opérationnelle. Certes, l’eau au niveau du tronçon central de la ligne s’est finalement résorbée, trois semaines après la crue. Mais, les infiltrations ont affecté la voûte de la gare, entrainant ainsi la désagrégation du flocage.

Par ailleurs, étant une gare typique des années 70, elle contient de l’amiante faisant craindre le pire. En tout cas, « jusqu’à présent, les analyses qui ont été effectuées n’ont pas révélé la moindre présence d’amiante dans l’air » a assuré le SNCF.

Quoi qu’il en soit, il vaut mieux prévenir que guérir d’où la décision des responsables ferroviaires de fermer la ligne pour au moins deux mois. « Nous espérons pouvoir rouvrir Saint-Michel à la fin avril puis, à l’occasion des travaux Castor (campagne annuelle de travaux dans le tronçon central qui se déroule pendant l’été depuis vingt ans) faire les travaux nécessaires. Nous faisons tout pour que cette solution soit possible » a indiqué le SNCF. Pour l’heure, une étude de faisabilité est en cours dont les résultats devraient être publiés dans une quinzaine de jours a-t-il précisé.

 

Galère sur les autres lignes

Outre cette coupure à long-terme, le réseau francilien ne semble pas à l’abri des perturbations. Rien qu’en ce début de semaine, deux lignes ont été contraintes d’interrompre leur trafic pour des incidents techniques. Lundi matin, peu après 7h, 4 rames sur la ligne 14, au niveau de la station Châtelet, ont été évacuées. Une opération qui a immobilisée le trafic pendant au moins trois heures. Et, mercredi matin, des problèmes de signalisation a paralysé la circulation entre Aulnay-sous-Bois et Roissy-Charles de Gaulles du RER B.

Heureusement, des solutions existent pour éviter ces désagréments. Parmi elles, Eden Transports semble être la meilleure alternative. Disponible 24h/24 pendant 7j/7, l’entreprise propose des offres flexibles selon les exigences. Professionnels, ses chauffeurs assurent ponctualité,  confort et sécurité pour chacun de leurs clients. Et, pour éviter les mauvaises surprises, les prix sont fixés dès la réservation.

Pollution de l’air : l’Hexagone a rendu son plan d’action à la Commission européenne

La France a finalement transmis à la Commission européenne les principales mesures qu’elle compte appliquer pour améliorer la qualité de l’air. Cela fait suite à la convocation par Bruxelles de 9 pays mauvais élèves en la matière dont l’Hexagone.

Le ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, a transmis à la Commission européenne le plan d'action du gouvernement pour lutter contre la pollution de l'air. Il a précisé que les mesures liées aux transports sont déjà rendues publiques.
La pollution de l’air fait plus de 400 000 morts par an en France.

Sous pression, la France réagit finalement …

L’ultimatum lancé récemment par le commissaire européen à l’Environnement, Karmenu Vella, à plusieurs Etats membres, dont la France, semble porter fruit. Pour rappel, il a indiqué dans son discours du 30 janvier que le non-respect de la directive de 2008 sur la qualité de l’air risque de renvoyer les pays concernés devant la Cour de justice européenne. Face à cet avertissement, la France a enfin réagi : le ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot, vient d’annoncer dans un communiqué que le plan d’action du gouvernement contre la pollution de l’air est remis auprès de la Commission européenne.

Selon lui, le document en question indique que la mise en œuvre du plan national de réduction des émissions de polluants atmosphériques est bien prometteuse : « elle permettra déjà d’éliminer les dépassements de valeurs limites en PM10 (particules fines) à partir de 2020 », mais à l’exception de quelques zones. Ainsi, le ministre Nicolas Hulot évoquera le sujet avec les préfets et les élus locaux des zones concernées par les dépassements des seuils maxima. Le but est de trouver de « nouvelles feuilles de routes opérationnelles ». La liste des actions concrètes envisagées pour revenir sous les seuils sont ainsi attendues le 31 mars.

 

Les mesures relatives aux Transports

Le ministre a également souligné que les mesures relatives aux transports sont déjà publiées. En effet, les flottes, notamment de poids lourds, sont appelées à « se verdir » grâce à un dispositif de suramortissement pour la location ou l’achat de voiture de plus de 3,5 tonnes au bioGNV ou au GNV. Conjointement, 100 stations d’alimentation en GNV pour ces véhicules de fort tonnage sont aussi prévues par le « Programme d’Investissements d’Avenir ». Des mesures encore plus rigoureuses seront appliquées quant au contrôle technique des voitures légères comme des poids lourds, affirme-t-il. Le but, selon lui, est de déceler les moindres fraudes aux dispositifs antipollution.

À tout cela s’ajoutent l’instauration de zones à circulation restreinte et le déploiement des vignettes Crit’Air (Certificats qualité de l’air). La mise en œuvre de ce plan d’action est en effet primordiale du fait que la pollution de l’air est la cause d’au moins 400.000 décès prématurés par an dans les pays membre de l’EU. Et ce chiffre n’inclut pas la mortalité engendrée par des maladies cardiovasculaires et respiratoires. D’après la Commission Européenne, la pollution de l’air coûterait au moins 20 milliards d’euros chaque année à l’économie de l’UE.