Pour les automobilistes peu habitués à la ville de Paris, la journée risque toujours de se transformer en un vrai cauchemar. Seuls ceux qui connaissent bien les axes et le trafic parisiens peuvent choisir l’itinéraire approprié pour éviter autant que possible les embouteillages. Voici alors quelques conseils pour ne pas perdre le contrôle.

S’informer sur les axes routiers de Paris

Pour ceux qui viennent pour la première fois à Paris, une petite leçon de géographie s’impose. Concrètement, il est important de prendre connaissances des différents axes routiers de la ville et de s’informer sur leur localisation avant de s’y aventurer en véhicule. Il s’agit principalement de l’autoroute A 86 ou super-périphérique, le boulevard périphérique ou « périph », les boulevards des Maréchaux ou « extérieurs » et, enfin, les grands axes routiers du centre.

Mais en même temps, il est essentiel de connaître l’état du trafic avant de prendre la route. Si possible, les heures de pointes sont à éviter. Il faut savoir par exemple qu’à certaines heures, la circulation dans le boulevard périphérique devient très difficile, surtout en cas de mauvaises conditions météorologiques ou d’accident. Dans ce type de cas, il est préférable d’éviter le « périph » et prendre les boulevards extérieurs, souvent moins fréquentés. Sauf si l’automobiliste est parfaitement habitué à la ville de Paris, il doit préparer soigneusement son itinéraire pour éviter de se perdre dans le labyrinthe de rues . C’est pourquoi il est également très recommandé de se servir d’un GPS.

Des mesures pratiques à prendre

Il faut savoir que le trafic routier de Paris est très dense pendant la matinée et aux heures de sorties de bureau et d’école. En principe, la meilleure mesure à prendre pour ne pas rester bloqué indéfiniment dans les  embouteillages est donc d’éviter les heures de pointe et de se déplacer en début d’après-midi ou en fin de matinée, à savoir entre 13h et 16h et à partir de 20 h. Mais attendre ces horaires n’est pas une mesure pratique surtout pour ces travailleurs, étudiants et écoliers qui doivent toujours arriver à temps.

En outre, les motos, les vélos et les scooters se faufilent souvent entre les voitures à la moindre occasion. La vigilance est ainsi de mise à tout instant : il faut toujours laisser suffisamment d’espace aux motocyclistes et cyclistes pour qu’ils puissent passer sans « envoler » les rétroviseurs des véhicules à côté. Tout ceci pour dire que la circulation à Paris reste compliquée et demande ainsi une extrême prudence de la part de chaque conducteur.  Du coup, au lieu de se perdre dans les rues de la capitale, ne serait-il pas plus judicieux de recourir au service de VTC proposé par Eden Transports ? En effet, les chauffeurs professionnels de cette entreprise connaissent bien comme leur poche Paris, et se tiennent toujours au courant du trafic en temps réel pour choisir le bon itinéraire à chaque prestation. Par ailleurs, ils bénéficient d’une dérogation préfectorale leur permettant d’emprunter les voies de bus pour un gain de temps considérable.

Après avoir été pointés du doigt pour des faux contrôles de stationnement, la société Streeteo, chargée des PV par la Marie de Paris, est de nouveau épinglée : l’entreprise aurait distribué des centaines de contraventions illégales en envoyant des agents non assermentés.

Les accrocs s’accumulent…

La société Streeteo semble prendre trop de liberté avec les règles. Cette entreprise en charge de la gestion des parcmètres et du stationnement multiplie les scandales : après l’employé qui prend le volant sans permis, les agents testés positifs au cannabis et les faux contrôles effectués depuis un bureau début mars à Paris, voici l’affaire de contraventions illégales.

La direction de cette entreprise aurait encouragé ses agents à dresser des PV illégaux. Comment ? En demandant à des employés non assermentés de délivrer des Forfaits de Post-Stationnement (FPS). Rappelons que depuis le 1^er janvier 2018, Paris a confié le contrôle du stationnement à deux entreprises privées : il s’agit de Streeteo, filiale d’Indigo et Moovia. Mais Streeteo aurait donc enfreint la réglementation y afférente.

Une irrégularité à contester

Il convient d’abord de rappeler que seuls les agents qui ont prêté serment devant un tribunal sont autorisés à apposer ces nouvelles contraventions. Mais voulant atteindre à tout prix le quota 50 000 contrôles par jour, l’entreprise elle-même aurait mis la pression sur ses employés pour que ceux-ci verbalisent, bien qu’ils ne soient pas assermentés. Et c’est encore dans ce sens que ces salariés réalisaient auparavant de faux contrôles depuis leur bureau. Plus concrètement, ils intégraient des listes de numéros d’immatriculation, sans les verbaliser.

Ainsi, les victimes sont appelées à contester cette irrégularité. Mais en attendant, elles ne doivent surtout pas payer leur amende,  et peuvent déposer une réclamation contentieuse auprès du tribunal de police de Paris. Streeteo, de son côté, tente de rassurer les automobilistes : « nous ferons en sorte que les conducteurs n’aient à subir aucun préjudice ». Et la direction de la société elle-même a bien reconnu avoir « identifié des pratiques internes inappropriées ».

Il faut normalement plus d’un week-end pour découvrir toute la beauté et la richesse de Paris, une des villes touristiques les plus visitées dans le monde. Mais bon nombre de visiteurs ne peuvent pas l’explorer plus de 1 ou 2 jours, faute de temps. Alors, comment faire pour être sûr de voir les incontournables pendant un week-end sans rater les essentiels ?

S’informer sur les sites les plus célèbres de Paris

Avant de dresser son itinéraire, il convient d’abord de connaître les sites incontournables de la capitale. Parmi eux, on retrouve, bien sûr, la Tour Eiffel qui reste un véritable symbole de la France. Il faut savoir qu’environ 2 heures permet déjà de visiter cette tour jusqu’au sommet. Elle offre des espaces à la fois ludiques et culturels, avec une vue panoramique à couper le souffle. On a ensuite le musée du Louvre, cette ancienne demeure des rois de France, sans cesse rénovée et transformée depuis le 12^ème siècle. Il s’agit d’ailleurs de l’un des plus grands musées du monde où l’on pourra admirer des sculptures et des collections datant du Moyen-Age jusqu’au 19^ème siècle, avec 35 000 œuvres au total.

Et une visite à Paris serait certainement incomplète, voire impossible, sans passer par les Champs-Elysées, considérés comme la plus belle avenue du monde. Construite à partir de 1670, elle offre un incroyable paysage, grâce à ses contre-allées et ses jardins particulièrement verdâtres. Elle relie par ailleurs de nombreux autres les lieux incontournables comme les places de la Concorde et l’Etoile.  Bien sûr, les sites mentionnés ci-dessus ne sont que des exemples, car il reste encore de nombreux autres endroits comme le Moulin Rouge, Notre Dame de Paris, Montmart, etc. On pourra les admirer à pieds jusqu’au bout, mais déambuler en voiture au cœur de Paris permet aussi de profiter pleinement de la ville, même en un temps limité.

Bien choisir le transport et l’itinéraire

Pour une visite réussie dans la ville de Paris, le choix du véhicule reste également un point important à ne jamais sous-estimer. Balader dans l’une des plus belles villes du monde en voiture bien adaptée à cet effet serait une expérience inoubliable pour les visiteurs. Raison pour laquelle il est vivement recommandé de recourir à une société de transport de personnes comme Eden Transports, spécialisée dans le VTC (Voiture de Transport avec Chauffeur)

Son équipe est en mesure de proposer à ses clients des idées d’itinéraires personnalisées pour apprécier Paris en véhicules. Qu’il s’agisse d’une visite touristique ou tout simplement d’une excursion, cette entreprise dispose de plusieurs formules attrayantes avec des tarifs  bien flexibles que ceux pratiqué par une navette ou un taxi. Ainsi, les forfaits peuvent être à la demi-journée, à la journée ou pour plusieurs jours, selon l’envie de chaque client.

Comme prévu, cheminots, fonctionnaires, personnel de la RATP et celui du transport aérien descendront dans la rue jeudi. Même si leurs revendications ne sont pas les mêmes, le 22 mars a été choisi par ces syndicats pour organiser ensemble « une manifestation nationale ». Des perturbations dans les transports seront donc considérables.

Première mobilisation générale

Si la SNCF a prévu 36 jours de grève (du 3 avril au 28 juin), un premier mouvement général aura bien lieu jeudi 22 mars. Durant cette mobilisation nationale, les cheminots bénéficieront également du soutien des fonctionnaires, du personnel de la RATP et du transport aérien qui ont chacun leurs revendications. Rappelons qu’au total, 140 manifestations sont au rendez-vous. Ainsi, plusieurs milliers d’agents du transport défileront dans la rue pour contester la réforme de leur statut voulue par l’Etat.

Cette grande mobilisation aura certainement des répercussions considérables sur les lignes de RER, de métro et de Transilien. Bien que la RATP ne soit pas concernée par cette réforme en cours, certains de ses syndicats ont également décidé de déposer leur préavis de grève, au nom de la solidarité avec la SNCF. Les informations essentielles sur les annulations éventuelles, les retards et les itinéraires seront communiquées la veille à 17h. Ce qui est sûr, c’est que ce mouvement nuira à l’ensemble du trafic routier, ferroviaire et aérien.

Plusieurs millions de passagers concernés

Pourtant, cette grève du 22 mars annoncée par les sept syndicats participants n’est que le début d’une manifestation générale. Ainsi, les usagers des transports en commun auront certainement des difficultés à se déplacer jeudi, et dans les semaines et mois à venir. Du moins pour les 4,5 millions de français qui prennent quotidiennement le train, ce mouvement reste « une mauvaise nouvelle ».  Beaucoup d’entre eux se demandent en effet comment vont-ils faire pour se déplacer non seulement jeudi, mais aussi durant les 36 jours de grève prévues.

À cette interrogation, la société Eden Transports a justement une solution de long terme, plus sûre et pratique : le VTC. Cette entreprise cherche à révolutionner l’univers du transport, en proposant des prestations sur-mesure, loin des contraintes lié à l’usage quotidien des bus, des trains et des taxis. Ainsi, le recours au VTC n’est pas seulement conseillé pour anticiper les jours de grève à venir, mais aussi pour profiter définitivement d’un service de transports personnalisé.

Dans la nuit du dimanche à lundi matin, les transports dans la partie nord de la France ont été affectés par les conditions météorologiques hivernales : la neige était de retour, entraînant des perturbations dans le trafic routier.

Les routes franciliennes très chargées dans la matinée

À seulement 2 jours du printemps, l’hiver crée encore des perturbations dans les transports, notamment dans la moitié nord de l’Hexagone la nuit du dimanche à lundi. Les voitures individuelles et les transports en commun ont ainsi connu des désagréments durant des heures. En Ile-de-France, les bouchons matinaux étaient un peu plus importants que d’habitude, et la vigilance orange levée à 10 heures. Avant 9 heures, on enregistre 500 km de ralentissements, ce qui est nettement élevé, puisque ce niveau avait atteint les 739 km lors de la fameuse vague de froid du 6 février dernier.

De ce fait, des accidents ont eu lieu hier matin sur la N104 extérieure à hauteur de Villepinte, l’A15 entre Franconville et Sannois, l’A6b, entre Porte d’Italie et Arcueil. Il en est de même pour la N118, relisant Sèvres aux Ulis. La préfecture de police de Paris avait ainsi décidé de prendre des mesures de restriction particulière pour les poids lourds : dépassements interdits, routes interdites et vitesse limitée. Mais ces routes ont été rouvertes aux poids lourds dans la matinée, toujours par arrêté préfectoral.

Des difficultés dans les transports en commun

En région parisienne, la RATP a informé les usagers sur les conséquences de cette météo hivernale : « le trafic des bus connait des perturbations sur tout le réseau » a-t-il indiqué hier. Et selon lui encore, Le RER C, les lignes N, L et J du réseau Transilien auraient aussi quelques difficultés dans la matinée. Les lycées, collèges et écoles primaires dans plusieurs départements étaient également impactées du fait des perturbations du ramassage scolaire.

Sur décision préfectorale, le transport des élèves a même été carrément interdit en Haute-Marne, bien que cette localité ne soit qu’en vigilance jaune. Même la Bretagne, sous l’influence des courants océaniques, a connu hier une circulation très délicate, à cause des plaques de verglas entraînées par les températures.

En raison des travaux de renouvellement des voies ferroviaires entamés en 2015, le RER A sera fermé du 28 juillet au 26 août, entre La Défense et Nation. Ainsi, les voyageurs qui empruntent chaque jour cette ligne devraient se tourner vers d’autres solutions pour anticiper les perturbations dans leurs déplacements.

Un mois d’interruption sur le RER A cet été

La ligne la plus fréquentée d’Europe, avec plus d’un million de passagers par jour, sera coupée dans Paris durant un mois cet été 2018, a confirmé la RATP le 6 mars dernier. Il s’agit de la ligne A du RER qui prévoit une interruption du 28 juillet jusqu’au 26 août, du fait des travaux en vue dans la traversée entre la Défense et Nation. Ainsi, ces deux gares seront seulement des terminus provisoires le temps des travaux. En revanche, Auber, Charles de Gaulle-Étoile, Châtelet-Les Halles et la Gare de Lyon, seront complètement desservies par le RER A, a-t-elle également souligné.

Toujours pour la même ligne, mais sur la voie empruntée par SNCF, le trafic sera aussi suspendu du 28 juillet au 26 août entre Poissy et Maisons-Laffitte. Par contre, la ligne L reliant Saint-Lazare et la gare de Poissy ne sera pas interrompue pendant les travaux, d’après encore le communiqué de la RATP.  Les passagers de cette ligne ferroviaire la plus chargée d’Europe devraient donc se préparer à cette interruption d’un mois.

Fermeture partielle à partir de 2019

Pour tempérer les inquiétudes accrues des voyageurs du RER, la RATP précise qu’à partir de l’année prochaine, l’interruption du trafic sera partielle. La 2^ème phase des travaux qui débutera en 2019 sera effectuée tous les soirs et les week-ends durant trois étés (jusqu’en 2021). Mais même si la coupure du RER A ne sera plus totale après 2018, elle entraînera toujours des perturbations importantes dans les transports.

Ainsi, il vaut mieux opter dès maintenant pour d’autres alternatives de transports plus sûres et confortables. C’est pour cette raison justement qu’Eden Transports, société spécialisée dans le VTC, propose des prestations adaptées à tous les types de clients. Les particuliers comme les professionnels peuvent faire appel à son service de transport de personnes, accessible 24h/24 via une simple réservation en ligne.

Depuis cette année, la loi indique que le contrôle du stationnement appartient aux municipalités qui, à son tour, peuvent céder la surveillance à des sociétés privées. Mais curieusement, l’arrivée de cette nouvelle mesure semble multiplier les sanctions injustes, et ce particulièrement envers les automobilistes handicapés.

Des bugs à répétition

Depuis janvier 2018, la loi autorise les mairies à confier la surveillance du stationnement à une délégation de service public. De ce fait, bon nombre d’entreprises privées sont actuellement chargées de pénaliser le mauvais stationnement et ainsi de verbaliser les automobilistes concernés. Mais les sanctions erronées s’enchainent aujourd’hui, car des sociétés privées distribuent injustement les PV. Ainsi, des automobilistes handicapés reçoivent des contraventions alors qu’ils étaient en règle lors du contrôle. De plus, ils avaient bien posé sur leur pare-brise le document attestant de leur handicap et de leur autorisation à stationner gratuitement.

Rappelons que depuis 3 ans, tous les conducteurs handicapés possédant la carte européenne destinée à cet effet peuvent profiter de ce privilège. Mais ils préservent également le même droit avec un autre document mis en circulation depuis le 1^er janvier 2017. Il s’agit de la « CMI-S » ou Carte Mobilité Inclusion Stationnement. À terme, cette nouvelle carte est censée se substituer à la première version, réputée facile à falsifier. Mais jusqu’ici, ces deux documents restent valables. Il faut juste que la carte soit placée de façon visible sur le pare-brise ou le tableau de bord pour échapper à une amende.

Un dysfonctionnement généralisé dans tout l’Hexagone

Mais même si la raison d’être de ces cartes est claire, de nombreux automobilistes en situation de handicap sont souvent sanctionnés à tort non seulement à Paris, mais dans tout l’Hexagone. Et Nicolas Mérille, membre de conseil national de l’APF (Association des paralysés de France) le confirme bien : « nous avons reçu un nombre impressionnant de signalement de ce type ». Selon lui encore, ces cartes censées faciliter le stationnement sont aujourd’hui devenues sources de galères pour bon nombre de personnes handicapées.

En plus, malgré les réclamations croissantes, certaines communes exigent encore aux conducteurs en situation d’handicap de s’enregistrer dans chaque mairie qu’ils traversent, au risque d’être sanctionnés. D’après Nicolas Mérille, cette demande n’est pas raisonnable, puisqu’elle rajoute une difficulté supplémentaire. Ainsi, les bugs continuent et les handicapés ne peuvent que subir ces défaillances généralisées. C’est justement pour éviter ces types de contraintes qu’il est préférable de recourir au service d’Eden Transports, société spécialisée dans le VTC. Elle propose des prestations destinées, entre autres, aux personnes à mobilité réduite ou en situation d’handicap. Ses véhicules sont spécialement adaptés aux PMR et ses chauffeurs professionnels sont particulièrement sensibles aux besoins de chaque client.

Deux diamantaires indiens ont été agressés et se sont fait dérobés une mallette remplie de pierres précieuses dans une station de métro parisien. Le butin équivaut à environ 300 000 euros.

Une attaque rapide et violente

Deux diamantaires de profession en provenance de l’Inde étaient venus dans le 5^e arrondissement afin d’effectuer une importante vente de pierres.  Mais puisqu’aucune transaction n’a été finalement réalisée, ils ont décidé de retourner à leur hôtel par la ligne 7 du métro de Paris lorsque deux assaillants armés de bombe lacrymogène les ont agressés. Après une violente bousculade, les voleurs ont réussi à s’emparer des diamants avant de se sauver à toutes jambes. Cette attaque a eu lieu vers 16 heures, à la station Cadet, dans le 9^e arrondissement.

Au vu des circonstances, ces attaquants possédaient suffisamment de renseignements sur le parcours de ces vendeurs professionnels, et avaient bien préparé l’opération. Les deux victimes ont déjà porté plaintes et l’une d’entre elles s’est vu prescrire 4 jours d’interruption totale de travail (ITT). Le 1^er district de la police judiciaire de Paris, de son côté, se charge déjà de l’enquête sur ce vol.

Pour éviter ce type de vol et d’agression…

Ce genre d’attaque crée sûrement un sentiment d’insécurité accrue chez les usagers, car les vols dans les transports en commun peuvent encore s’accompagner de sexisme et d’harcèlements. De ce fait, il n’est pas très judicieux de prendre le métro ou le bus surtout lorsqu’on porte sur soi une bonne somme d’argent, des pierres précieuses ou tout simplement des objets valeureux susceptibles d’attirer les voleurs.

Au lieu de s’aventurer dans un train ou un autobus, il est préférable de se tourner vers d’autres alternatives bien plus rassurante et confortable telles que le VTC.  Destiné à proposer des prestations de transports personnalisées et abordables, ce type de service est aujourd’hui de plus en plus sollicité par les usagers français. Parmi ses nombreux avantages, on peut citer son système de réservation en ligne qui reste disponible à tout moment. Ainsi, hommes d’affaires, entreprises et particuliers peuvent tous y recourir.

Le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, a indiqué mercredi que la mesure sur la réduction de vitesse à 80 km/h ne serait pas retirée. En dépit du mécontentement des élus locaux et de nombreux automobilistes, l’Etat confirme donc que ce dispositif serait appliqué, comme prévu, à partir du 1^er juillet.

Le gouvernement ne compte pas reculer

L’Etat ne va pas renoncer à la mesure destinée à limiter la vitesse sur les routes à 80 km/h. C’est ce qu’entend Benjamin Griveaux le 7 mars lors de son entretien avec la presse, à l’issu du conseil des ministres. Selon lui, ce nouveau dispositif serait mis en œuvre le 1^er juillet sur les routes secondaires sans séparateur de voies. Son efficacité sera par ailleurs évaluée en 2020, a-t-il encore précisé, en rajoutant que le Premier ministre et le président de la République s’entend bien sur ce dossier.

L’utilité de ce dispositif n’est pas partagé par tous les automobilistes qui, tout comme les élus locaux, ont fait part de leur indignations à l’égard de la décision du gouvernement. Ils réclament même un report et une remise en question profonde du côté de l’Etat. D’après eux, il serait judicieux de renoncer aux moins à la généralisation de cette mesure, en l’appliquant tout simplement « au cas par cas ». Mais Benjamin Griveaux s’est montré ferme : « ce n’est pas ce qui est prévu », a-t-il répondu.

Les répliques des députés

Malgré les explications apportées par le gouvernement, les élus locaux contrariés par la mesure continuent d’élever la voix. En précisant que ce dispositif reste « inégalitaire, inefficace et injuste », les députés comme Manche Philippe, élus LR, ainsi que le patron du parti, Christian Jacob, sont contre cette initiative de l’Etat. Benoît Simian du LREM, député de la Gironde, lui, y voit surtout un problème de considération vis-à-vis des territoires ruraux. Selon lui, il faudra plutôt limiter la vitesse uniquement pour les routes n’ayant pas de marquage au sol.

Mais Edouard Philippe se montre bien déterminé à appliquer sans report cette limitation pourtant mal accueillie par les élus locaux. Pour lui, il est prêt à être « impopulaire » si c’est le prix à payer pour réduire les accidents routiers et « sauver des vies », comme il l’a souligné. Ainsi, il semble que du côté de l’Etat, la question ne serait plus de savoir si la limitation de vitesse sera mise en œuvre, mais désormais d’en évaluer l’efficacité dans les mois et les années à venir.