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Les Français et les embouteillages

La plupart des conducteurs français finissent par s’énerver après 30 minutes dans les bouchons. En outre, 50 % jeunes automobilistes perdent patience au bout de 15 minutes seulement. C’est le résultat d’un sondage mené par Easy Panel sur le comportement des Français face au trafic bloqué.

Une enquête réalisée par Easy Panel indique que 82 % des Français perdent patience au bout de 30 minutes d'attente dans les embouteillages. La moitié des jeunes conducteurs s'énervent après 15 minutes seulement alors que les plus âgés arrivent à gérer leur colère pendant 1 heure.
La moitié des jeunes conducteurs s’énervent au bout de 15 minutes dans les bouchons.

 

Les plus âgés sont plus patients…

Pour rappel, une étude du spécialiste Américain du trafic INRIX a déjà indiqué que les Français passent en moyenne 23 heures dans les bouchons chaque année. Elle révèle également que Paris est la 6e ville la plus embouteillée dans le monde, avec 65 heures de moyenne. Et ce mois-ci, un sondage effectué par Easy Panel révèle un autre fait dans l’Hexagone : 82% des Français perdent le contrôle de ses nerfs après une demi-heure d’attente dans les embouteillages, et 40% s’impatiente au bout de seulement 15 minutes.

Par ailleurs, ce sont les jeunes conducteurs qui s’irriteraient le plus vite lorsqu’ils sont coincés dans le trafic, car la moitié d’entre eux se mettent en colère au bout d’un quart d’heure seulement. Il est aussi intéressant de savoir que, du côté des automobilistes plus âgés, l’atmosphère est plus détendue, car à la différence des jeunes, ils arrivent à contenir leur agacement pendant une heure dans les bouchons.

 

Pour supporter ou braver les embouteillages

Pour anticiper le risque d’énervement dans un trafic bloqué, les passagers et les conducteurs ont recours à diverses astuces et occupations. Ainsi, 77% des automobilistes préfèrent écouter la radio, si 51% choisissent d’engager une discussion avec un ou plusieurs passagers. En revanche, 13% se mettent à observer les comportements et imaginer la vie d’autres conducteurs coincés dans le trafic.

Mais pour éviter de se retrouver bloqués dans les bouchons,  42% des séniors âgés de 60 ans et plus choisirait plutôt de décaler leur départ. Bien que cette option soit pratique, elle n’est évidemment pas appropriée pour les personnes actives qui devraient arriver à l’heure à l’école, au travail, etc. Bref, cette enquête montre que l’agacement des Français dans les embouteillages est loin d’être un mythe et concerne à la fois les jeunes et les plus âgés.