C’est officiel, le CDG Express verra bien le jour malgré la contestation de quelques élus. Mais qu’implique ce chantier et qui seront les principaux concernés ? Explications…
Un grand chantier
Le lundi 11 février dernier, la ministre des transports, Elisabeth Borne, a annoncé la signature du contrat de concession du CDG Express en présence des dirigeants de SNCF Réseau, du Groupe ADP et de la Caisse des dépôts et consignations. « C’est une étape logique qui permet la création de la société de projet et que les travaux soient menés » a expliqué un porte-parole à l’AFP.
Ce CDG Express devrait permettre la liaison de Paris et l’aéroport de Roissy en seulement vingt minutes. Prévu entré en service à partir du 1er janvier 2024, ce train va relier la Gare de l’Est, dans le centre de Paris, au terminal 2 de l’aéroport de Roissy. En tout, il aura 8 km de voies en propre et devra partager sur 24 km les voies ferrées du Transilien, parallèles à celles du RER B.
Des contestations
Mais la construction de ce grand chantier ne sera pas sans conséquences ! Michel Cadot, le préfet de région, évoque d’ailleurs « la nécessité de fermetures du RER B de deux à quatre semaines » durant l’été. Cela fait grincer les dents de quelques élus qui estiment que « même s’i y a deux fois moins de passagers en été, comment imaginer mettre 450.000 personnes dans des bus sur des axes déjà saturés ? »
Il est à rappeler que le RER B transporte plus de 900.000 personnes par jour. Interrompre son trafic risque donc de bouleverser considérablement le quotidien de ses usagers. Quoi qu’il en soit, des solutions existent d’éviter toute mauvaise surprise : Eden Transports. Grâce aux différents services qu’il propose, les clients pourront facilement trouver celui qui leur conviendra.