Malgré la vaste campagne lancée en mars 2018 par la RATP, la SNCF Transilien et Île-de-France Mobilités contre le harcèlement dans les transports, ce fléau reste encore une réalité à combattre…
Manque de réactions
Sous l’initiative de Valérie Pécresse, présidente de la Région Île-de-France, la RATP et SNCF Transilien et Île-de-France ont initié sur tout le réseau de transports commun francilien à partir du 5 mars 2018 une vaste campagne de communication. L’objectif est de sensibiliser les usagers à la lutte contre le harcèlement.
D’après la dernière enquête en date menée par Ifop sur ce sujet, plus de 80 % des femmes en France ont déjà subi une forme d’agression ou d’atteinte sexuelle, tant dans la rue que dans les transports en commun. La même étude a également révélé que le profil type des victimes est celui d’une jeune femme de moins de 25 ans qui habitent dans une grande agglomération.
La lutte continue…
Mais force est de constater que ce problème reste encore une réalité dans les trains, les bus et les métros. Cela s’explique par le fait que, très souvent, les victimes et témoins ne réagissent pas face au choc ou à la peur des représailles. Mais rappelons que le harcèlement est un délit. Ainsi, ceux-ci sont appelés à prévenir un agent, en utilisant l’interphone qui se trouve dans le RER et les métros.
Cette lutte nécessite une grande réactivité de la part des usagers, car un de nombreuses femmes sont victimes de frottements ou d’attouchements déplacés durant leurs déplacements quotidiens. À cela s’ajoutent parfois des gestes à connotation sexuelle, des sifflements ou encore des insultes. Malgré les différentes mesures prises par les autorités pour réprimer le harcèlement sexuel, ce fléau est donc loin d’être neutralisé dans les transports. Ainsi, l’alternative idéale pour se déplacer en région parisienne est de recourir au service comme celui d’Eden Transports. Avec ce spécialiste du VTC, tout est pensé pour assurer le confort et la sécurité du client, du départ à l’arrivée.