En France, 94% des émissions de CO2 du transport intérieur viennent du trafic automobile. Les grandes métropoles du monde entier continuent aujourd’hui leur combat pour réduire la pollution et limiter le réchauffement climatique. Les entreprises de transport doivent suivre la tendance pour ne pas sombrer.
Une préoccupation mondiale
Le réchauffement climatique est l’affaire de tous ! Cela a été confirmé par la COP21 de Paris et la COP22 de Marrakech. Les initiatives de lutte poussent de partout (Etat, villes, sociétés ou particuliers) pour limiter l’empreinte du transport sur l’environnement : les gens achètent de plus en plus des véhicules électriques ou utilisant du biocarburant, la pollution de l’air est régulièrement évaluée et les restrictions de la circulation se multiplient.
A Paris, la vignette Critic’Air est déjà opérationnelle depuis l’année 2017. Tous les véhicules qui circulent dans à Paris doivent respecter les normes. Si les premiers contrôles ont été axés sur la pédagogie, les sanctions ont suivi.
Devenir écoresponsable
Cela reste actuellement le grand défi des gouvernements, des villes, des entreprises et des citoyens. Les nouvelles technologiques mettent à la disposition des acteurs les outils nécessaires pour le relever. Il est possible aujourd’hui d’évaluer ses émissions de polluants et d’optimiser sa consommation énergétique.
En optimisant les itinéraires, l’entreprise évite des émissions supplémentaires de CO2. Elle épargne aussi du temps et de l’argent pour elle et pour le client. L’éco-conduite est aussi recommandée pour les conducteurs : modérer la vitesse, éviter les accélérations et freinages brusques qui augmentent la consommation de carburant. Il est également conseiller de ne pas abuser de la climatisation.
Les impacts de la pollution automobile sur l’environnement et sur la santé de l’homme sont désormais visibles. Il faut une prise de conscience collective pour que les bonnes pratiques en matière de mobilité se généralisent.