Skip to content

Voiture autonome : autorisée en Grande-Bretagne dès 2021

Les Britanniques souhaitent devenir les champions de la voiture autonome. En effet, le ministère des Finances a annoncé que les premières voitures autonomes rouleront en Grande-Bretagne dès 2021. Cette ambition est alimentée par un énorme investissement et l’arrivée du réseau 5G.

La Grande-Bretagne annonce la mise en circulation de la voiture autonome dès 2021. De nombreux investissement et le déploiement du réseau 5G sont nécessaires dans la réalisation de ce projet.
La voiture autonome circulera en Grande-Bretagne dès 2021.

Des voitures autonomes dès 2021

Le budget nécessaire à la concrétisation de ce projet sera présenté le mercredi 22 novembre 2017, selon le ministre des Finances. Les investissements dans les nouvelles technologies seront multipliés. Le déployement de la 5G devrait notamment coûter 160 millions de livres et le développement de l’Intelligence artificielle (IA) s’élèverait à 75 millions de livres. Une enveloppe de 400 millions de livres sera également destinée aux entreprises qui installeront les points de recharge des voitures électriques. Les automobilistes qui voudront migrer vers l’électrique seront aussi aidés.

« La Grande-Bretagne a un avenir très prometteur et nous devons saisir les opportunités que nous offrira le monde post-Brexit », a affirmé le ministre Philip Hammond sur BBC1. « La Grande-Bretagne doit être à la tête de cette nouvelle révolution technologique », a-t-il ajouté.

Un écart entre les populations urbaines et rurales

La règlementation des transports en Grande-Bretagne devra encore subir quelques changements pour que ces nouveaux véhicules puissent circuler. Ce côté juridique reste d’ailleurs un des blocages pour la mise en circulation des voitures sans chauffeur dans plusieurs pays.

Le prix de ces voitures pose également problème, que ce soit à la vente ou à la location. Au rythme actuel, un écart va se creuser entre les populations des villes et celles de la campagne. En effet, les habitants des zones rurales n’ont ni les mêmes besoins, ni les mêmes contraintes que les citadins en matière de mobilité.